
Le Moussaillon Espérant
#1
Posté 10 septembre 2007 - 11:05
D’en haut, on connait chaque vague, que le bateau coupe.
#2
Posté 11 septembre 2007 - 06:32
#3
Posté 11 septembre 2007 - 08:13
bonne journée...
#4
Posté 11 septembre 2007 - 09:52
Hello Féfé, me fait penser au Potemkine.....la dernière phrase est superbe.....bonne journée...
Tu écoutes trop Ferrat, Domi ! ;-)Merci
#5
Invité_Charlie_*
Posté 11 septembre 2007 - 09:55
Ben moi ça me fait penser au haïku...
Alors avec toi on a le choix entre le minimum qui laisse imaginer le maximum
ou les tartines XXL avec cet irrésistible goût de reviens-y!
Une Fé à plusieurs casquettes quoi!
Continue!
#6
Posté 11 septembre 2007 - 10:14
Tu écoutes trop Ferrat, Domi ! ;-)Merci
Domi me l'a dit en apparté, il n'écoute jamais Ferrat, mais pensait au film
pas de fausse interprétation.
Merci pour lui
dj
#7
Posté 11 septembre 2007 - 10:15
Les vagues percutent et persécutent le cuirassé. Dignes d’ailleurs, on quitte l’eau, y laissant se noyer la cause déshonorée.
D’en haut, on connait chaque vague, que le bateau coupe.
Bonhomme, si tu vas sur le pont, profites-en pour passe un coup de savon... Merci.
Charlo, concernant la forme... je ne sais à quel sein me vouer, tu as raison ;-)
Jaguar.
#8
Posté 11 septembre 2007 - 10:15
Les vagues percutent et persécutent le cuirassé. Dignes d’ailleurs, on quitte l’eau, y laissant se noyer la cause déshonorée.
D’en haut, on connait chaque vague, que le bateau coupe.
Fée des vagues...
Mystérieux cuirassé, dont on ne sait s'il est plus fort que les vagues, ou si elles ont le dessus.
En tout cas la première phrase a le halètement incessant des vagues.
Mystérieuses vagues que l'on quitte pour les voir d'au-dessus.
Le cuirassé n'est pas si sympathique, oui, laissons, ne nous noyons pas.
Le bateau a beau couper les vagues, elles se reforment toujours derrière.
Artemisia
#9
Posté 11 septembre 2007 - 10:33
je t'embrasse de part la bise d'aujourd'hui
Joel
#10
Posté 11 septembre 2007 - 10:37
Domi me l'a dit en apparté, il n'écoute jamais Ferrat, mais pensait au film
pas de fausse interprétation.
Merci pour lui
dj
Non mais c'est pas sur un site de poésie qu'on va me dire comment interpréter, quand même ! ;-)
Je ne pensais pas au Potemkine en écrivant le texte. On peut cependant penser à ce qu'on veut quand on lit... les textes, les com's, les journaux, les livres, les recettes de cuisine, et compagnie.
Hop. Je suis taquine ce matin. J'arrête.
Jaguar.
#11
Posté 11 septembre 2007 - 11:31
Domi me l'a dit en apparté, il n'écoute jamais Ferrat, mais pensait au film
pas de fausse interprétation.
Merci pour lui
dj
non féfé je ne lui ai rien dit (lol)
#12
Posté 11 septembre 2007 - 11:38
non féfé je ne lui ai rien dit (lol)
Pfouillouillouille... quoi qu'il arrive, merci à tout le monde d'être passé. J'rigole bien, ce matin.
#13
Posté 11 septembre 2007 - 11:58
Fée des vagues...
Mystérieux cuirassé, dont on ne sait s'il est plus fort que les vagues, ou si elles ont le dessus.
En tout cas la première phrase a le halètement incessant des vagues.
Mystérieuses vagues que l'on quitte pour les voir d'au-dessus.
Le cuirassé n'est pas si sympathique, oui, laissons, ne nous noyons pas.
Le bateau a beau couper les vagues, elles se reforment toujours derrière.
Artemisia
Merci d'être passée, Jolie Fleur. Et d'avoir éprouvé ces quelques vagues.
Fé.
#14
Posté 11 septembre 2007 - 01:28
Jérôme
#15
Posté 11 septembre 2007 - 04:37
Oui bravo ... En effet, la dernière ligne donne le balancement de la mer avec son hachage, son rythme particulier ... Non, très réussi, allant à l'essentiel /// minimal
Jérôme
J'espère plus suffisant que minimal. Merci, Jérôme.
DJ... merci !
Jaguar.