
le journal intime d'un serrurier qui aime ecrire - I
#1
Posté 13 avril 2012 - 12:04
J'ai soudé des pieces du portail de la soeur du monsieur Jean de la Croix. Hier il m'a parlé qui aujourd'hui elle me payait le reste , mais elle n'a pas payé.
Midi et demie - Dans la salle à sejour de la troisiéme Maison Bamba - Vila Embratel
Mon frere aîne dejeune dans la salle à manger. La petite Larisse frit un oeuf - j'ai achevé de lire le roman du grand ecrivain bresilien Jorge Amado "Gabriela, Cravo e Canela", un classique de notre literature
Mardi, o6 mars
Je m'ai habitué ecrire dans la langue françaises, qui parfois j'oublie qui je suis bresilien et j'ai qui ecrire en portugais. J'ai pris une decision, je vais achever de saisir le texte sur l'ordinateur du roman "Além das Nevoas Azuis". Maintenant c'est l'heure de publier ou meilleur finir le roman et après envoyer à les maisons d'editions d'ici du Bresil et Portugal.
J'etais presque fou ou meilleur depressif, parce que je n'ai pas vendu livre dans la France. Tous les jours je lisais les statisques de ventes et rien, -
Demain ou jeudi (avec la benediction de Dieu) je vais envoyer le reste de l'argent du livre.
Mon fils n'aime pas de l'idée. Il veut qui moi fait la traduction du roman à la langue française.
Apres-midi - Maison Bamba
Monsieur le valet Carlos c'est le nouveau maitre du chateau. Mes yeux sont inflammés de soudure. Je suis dans la salle d'ordinateur assis de dos à la fenetre, ma mere dans le terrase - la chienne aboye du fond du coeur. Mon frere âine dans le WC.
Monsieur le valet Carlos couché dans le divan dans la salle à sejour voyant un film dans la tele - il est le fils adoptif de ma belle-soeur, personne peut parler rien de lui, elle reste très fachée.
17:15 - Je me leve de la chaise, je laisse le livre du grand maitre espagnol Don Cervantes sur l'étagere et je vais à la cuisine prendre une tasse de café et allumer un "carêta". je retourne au même lieu.
Nuit - 22:15
Je suis très fatigué, j'ai debuté saisir un texte dans l'ordinateur - le roman "Além das Nevoas Azuis" en portugais. Je relis le "Dom Quixote de la Mancha" - j'ai fait deux pages du roman
#2
Posté 13 avril 2012 - 07:46
#3
Posté 13 avril 2012 - 10:32
il ferait mieux d'écrire en portugais et se faire traduire,
parce que là, la traduction est mauvaise
#4
Posté 13 avril 2012 - 01:30
Môssieur est montreur de fautes...super!
Il manie la critique objective comme on se cure le nez...boulette après boulette...
#5
Posté 13 avril 2012 - 01:58
mais moi je dis simplement que j'ai du mal avec sa lecture
#6
Posté 14 avril 2012 - 01:11
Mais écrire cette même langue étrangère en réiterant les mêmes fautes, c'est laid.
Je suis de la vieille école.

Rodrigues, n'écoute pas le jaloux Victor
le talent c'est de faire oublier les fautes d'usage et de grammaire
là, c'est être discourtois.
Surtout quand on sait que le talent, c'est en grande partie du travail, comme une forme de respect dans lequel on tient celui qui regarde le spectacle.
Ce qui n'est pas ton cas. Mais peut-être suis-je un mauvais critique.

#7
Posté 14 avril 2012 - 02:55
Hé, oui. J'ai des kms au compteur. un avantage sur toi peut-être, qui ne vois que le bout de ton nez.

" si t'avais pas tant à blairer le cul des autres, t'écrirais qu'on te lirait même pas que sur le coté d'un papier chiotte"
Est-ce que tu t'entends au moins parler ?

J'adore te faire craquer !

#8
Posté 14 avril 2012 - 03:29

#9
Posté 15 avril 2012 - 02:28
Je souhaite un bon succès à votre roman !
Mardi o5 mars
J'ai soudé des pieces du portail de la soeur du monsieur Jean de la Croix. Hier il m'a parlé qui aujourd'hui elle me payait le reste , mais elle n'a pas payé.
Midi et demie - Dans la salle à sejour de la troisiéme Maison Bamba - Vila Embratel
Mon frere aîne dejeune dans la salle à manger. La petite Larisse frit un oeuf - j'ai achevé de lire le roman du grand ecrivain bresilien Jorge Amado "Gabriela, Cravo e Canela", un classique de notre literature
Mardi, o6 mars
Je m'ai habitué ecrire dans la langue françaises, qui parfois j'oublie qui je suis bresilien et j'ai qui ecrire en portugais. J'ai pris une decision, je vais achever de saisir le texte sur l'ordinateur du roman "Além das Nevoas Azuis". Maintenant c'est l'heure de publier ou meilleur finir le roman et après envoyer à les maisons d'editions d'ici du Bresil et Portugal.
J'etais presque fou ou meilleur depressif, parce que je n'ai pas vendu livre dans la France. Tous les jours je lisais les statisques de ventes et rien, -
Demain ou jeudi (avec la benediction de Dieu) je vais envoyer le reste de l'argent du livre.
Mon fils n'aime pas de l'idée. Il veut qui moi fait la traduction du roman à la langue française.
Apres-midi - Maison Bamba
Monsieur le valet Carlos c'est le nouveau maitre du chateau. Mes yeux sont inflammés de soudure. Je suis dans la salle d'ordinateur assis de dos à la fenetre, ma mere dans le terrase - la chienne aboye du fond du coeur. Mon frere âine dans le WC.
Monsieur le valet Carlos couché dans le divan dans la salle à sejour voyant un film dans la tele - il est le fils adoptif de ma belle-soeur, personne peut parler rien de lui, elle reste très fachée.
17:15 - Je me leve de la chaise, je laisse le livre du grand maitre espagnol Don Cervantes sur l'étagere et je vais à la cuisine prendre une tasse de café et allumer un "carêta". je retourne au même lieu.
Nuit - 22:15
Je suis très fatigué, j'ai debuté saisir un texte dans l'ordinateur - le roman "Além das Nevoas Azuis" en portugais. Je relis le "Dom Quixote de la Mancha" - j'ai fait deux pages du roman