Quand l’infini m’apporte le courage,
Au moment où, l’orage fait rage
Dans mon cœur en déroute, sans écoute.
Et que survient l’abondance sans nul doute.
Où tout à refaire dans cette voûte
Creuse, dévastée, ravagée, et envoûtée
M’engageant dans le chemin solitaire,
Vers la cité royale et salutaire.
Soudain! Une voix se fut entendre,
Au milieu de deux voies à l’encontre.
Prenez celle de ta droite des routes,
Il n’y a là dessus pas de doute.
C’est le chemin qui élève l’âme,
A la cité de la suprématie suprême.