Soif de ciel, envol en touche,
Brûler mes plumes, bitume tactile,
Prendre le large en vingt six temps,
Lâchant le jour, sous cloche de lune,
Qui morne la vie, réalité...
...Si une ivresse pend votre ossature a l'un des ruisseaux postérieur du vent qui mouche l'oxygénation et qu'elle saoul la sève qui vous noie dans celui ci, ne laissé jamais la branche vous extirper de ses courants....
Jazzy Jazz