Sur sa pierre l’ombre posée,
D’un geste vif, détend ses osselets,
Face à la pâleur de son pain bénit,
Son corporel reprend vie.
Le feu sacré s’empare de son état,
Libérant les flammes de son zénith,
Ajustant les règles de son intime,
Pour faire éclore un nouveau monde.
Ses prunelles se languissent,
Des linéaires futurs,
La première n’étant finie,
Que la seconde a déjà destination.
Nul besoin de motricité,
Pour arriver à bon port,
Avec ses rythmiques,
Les frontières se franchissent en une cornée.
Jazzy Jazz