
néant
#1
Posté 24 septembre 2007 - 07:06
celui ou tu te dit, mais quel bouffon
La gorge nouée, tête baissée
je n'ai plus envie d'avancer
La vie défile devant moi à vive allure
je sens juste mon coeur qui deviens dur
j'ai des mains qui se posent sur mon épaule
mais mon esprit, tu en as pris tout le controle
J'attend que tu vienne prendre ma main
Que tu me dise ces mots que j'attend en vain
Peux-tu sentir et comprendre ma douleur
Peux-tu comprendre que tu es mon bonheur
#2
Posté 24 septembre 2007 - 07:19
J'ai ce sentiment d'avoir était trop confiant
celui ou tu te dit, mais quel bouffon
La gorge nouée, tête baissée
je n'ai plus envie d'avancer
La vie défile devant moi à vive allure
je sens juste mon coeur qui deviens dur
j'ai des mains qui se posent sur mon épaule
mais mon esprit, tu en as pris tout le controle
J'attend que tu vienne prendre ma main
Que tu me dise ces mots que j'attend en vain
Peux-tu sentir et comprendre ma douleur
Peux-tu comprendre que tu es mon bonheur
C'est la solitude des anges de la nuit.Bien à toi.
#3
Posté 24 septembre 2007 - 07:30
#4
Posté 24 septembre 2007 - 07:33
à une femme...A qui tu parles angedenuit?
devrais-je le préciser dans mon texte?
#5
Posté 24 septembre 2007 - 07:41
Bienvenue sinon.
#6
Posté 24 septembre 2007 - 07:43
Bienvenue sinon.
merci bien
salutation
#7
Posté 24 septembre 2007 - 09:55
C'est sincère, comme un jet de douleur. L'amour a de multiple facette, bienheureux ceux qui s'accordent.J'ai ce sentiment d'avoir était trop confiant
celui où tu te dis, mais quel bouffon
La gorge nouée, tête baissée
je n'ai plus envie d'avancer
La vie défile devant moi à vive allure
je sens juste mon coeur qui devient dur
j'ai des mains qui se posent sur mon épaule
mais mon esprit, tu en as prit tout le controle
J'attends que tu viennes prendre ma main
Que tu me dises ces mots que j'attends en vain
Peux-tu sentir et comprendre ma douleur
Peux-tu comprendre que tu es mon bonheur
J'ai fait quelques corrections, par correction, je m'en excuse par avance, c'était plus fort que moi.
#8
Posté 24 septembre 2007 - 10:24
C'est sincère, comme un jet de douleur. L'amour a de multiple facette, bienheureux ceux qui s'accordent.
J'ai fait quelques corrections, par correction, je m'en excuse par avance, c'était plus fort que moi.
c'est moi qui m'excuse pour ces fautes, je ne peux que vous en remercier
#9
Posté 24 septembre 2007 - 10:56
Alors j'en profite, j'en ai loupé une.J'ai ce sentiment d'avoir été trop confiant
[ ... ]
La poésie n'est pas de simple mot que l'on dépose sur unpapier. Se sont des images, ressentit par l'auteur. Au travers de la poésie, ces mots nous transmettent des images, comme la lecture d'un livre (sans images). Ils décrivent un sentiment, une impression, un désir, une pensée, tout ce qui est abstrait y prend vie.
Il y a le visuel qui joue sur l'esprit du lecteur, la phonétique y prend le goût du supplice, l'âme du divin coule comme du meil.
Ce sentiment d'être confiant, laisse paraitre une blessure infligée.
On peut le rendre plus dramatique :
"Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison".
On peut rendre cela plus théatrale :
"Vous n'aviez qu'à me rendre mon coeur, ou le déchirer".
On peut manipuler l'esprit du lecteur, en s'imprégnant du support le plus précieux, son esprit. Laisser couler les maux et y trouver une guérison en la poésie.
La poésie est un Art, qui sans l'écrivain, elle n'aurait pas d'existence. Sans le travail de l'esprit, l'écrivain n'aurait pas d'existence non plus.
Une simple envie de partager un instant de poésie.
#10
Posté 25 septembre 2007 - 02:26
Alors j'en profite, j'en ai loupé une.
La poésie n'est pas de simple mot que l'on dépose sur unpapier. Se sont des images, ressentit par l'auteur. Au travers de la poésie, ces mots nous transmettent des images, comme la lecture d'un livre (sans images). Ils décrivent un sentiment, une impression, un désir, une pensée, tout ce qui est abstrait y prend vie.
Il y a le visuel qui joue sur l'esprit du lecteur, la phonétique y prend le goût du supplice, l'âme du divin coule comme du meil.
Ce sentiment d'être confiant, laisse paraitre une blessure infligée.
On peut le rendre plus dramatique :
"Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison".
On peut rendre cela plus théatrale :
"Vous n'aviez qu'à me rendre mon coeur, ou le déchirer".
On peut manipuler l'esprit du lecteur, en s'imprégnant du support le plus précieux, son esprit. Laisser couler les maux et y trouver une guérison en la poésie.
La poésie est un Art, qui sans l'écrivain, elle n'aurait pas d'existence. Sans le travail de l'esprit, l'écrivain n'aurait pas d'existence non plus.
Une simple envie de partager un instant de poésie.
Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison
j'étais devenu simplement innocent, ignorant
sidéré, plafond au sol
je n'étais plus accordé
insouciant de la réalité, j'étais absorbé
j'écoutais mon cœur se déchirer
ai-je besoin de ces voix de compassions?
ai-je vraiment perdu la raison?
j'ai besoin d'une délivrance, de ta présence
suis-je devenu faible de cette romance?

#11
Posté 25 septembre 2007 - 02:25
#12
Posté 25 septembre 2007 - 07:44
Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison
j'étais devenu simplement innocent, ignorant
sidéré, plafond au sol
je n'étais plus accordé
insouciant de la réalité, j'étais absorbé
j'écoutais mon cœur se déchirer
ai-je besoin de ces voix de compassions?
ai-je vraiment perdu la raison?
j'ai besoin d'une délivrance, de ta présence
suis-je devenu faible de cette romance?
Plus de vivacité dans les mots, un mélange d'auréole, d'imagination.
Belle tournure.
#13
Posté 25 septembre 2007 - 08:12
Plus de vivacité dans les mots, un mélange d'auréole, d'imagination.
Belle tournure.
merci pour ce partage de poèsie