Une petite visite
Dans tes lieux
Que tu n'habites plus
Plus jamais
Et je goutte
A cette brutalité
Qui me heurte sans ménagement
Alors que je comprends à peine
Avec ma tête perdue et confuse
Juste un peu plus avec le creux des mes trippes
Et je réapprends la violence de la douleur
Celle sans remède
La plus cruelle des races
Celle qui broie le coeur
Comme un rouleau compresseur
Celle qui ne laisse pas d'option
Ni de détour
Juste le silence
L'absence
Et cette insertion
Dans chaque articulation du coeur
Pour le violenter
Sans pitié
Pour le chatier
Pour le broyer
Et lui faire croire
Qu'il n'est rien
Et ne mérite rien de mieux
Et il peu y croire
Tellement la correction
Est dure
Et sans appel
pixel

Un soir de juin
Débuté par pixel, avril 17 2013 02:56
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#1
Posté 17 avril 2013 - 02:56