Cette féminité particulière,
Y sombrer est destinée merveilleuse ;
Tout porte à croire qu’à Cythère,
Habitent des âmes des plus joyeuses !
Exquise ta chevelure altière,
Ravive des rêves d’un âge lointain,
Et tes belles lèvres à Baudelaire,
Eurent sans doute inspiré des quatrains ;
N’étant pour ma part que piètre parolier
N’écrivant que pour conjurer mon geôlier
En ta grande indulgence j’espère.