La vie passe en coup de vent et puis le silence reprend règne les herbes frémissent. Peut-être quâelles saignent au-dedans comme ces hommes qui reviennent des champs un peu plus vieux quâau matin un peu plus absents dâeux-mêmes sans mémoire et sans poème. In André Laude, Åuvre poétique, Mémoires fixes 1977-1987 - © La Différence, 2008, p.576 **** Fraternité Hommage à Claude Ptolémée Je suis homme : je dure peu et la nuit est énorme. Mais je regarde vers le... (...)
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Poème en regard : André Laude | Octavio Paz
Débuté par tim, avril 26 2013 06:00
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