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Elle s’appelait sagesse


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#1 mouataz

mouataz

    Tlpsien

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Posté 27 mai 2013 - 03:53

                                         

 J’ai suivi ces pas pour un chemin sanglant mais plein de sentiments

Des conflits incarnent nos esprits et des défauts intimes ont apparus

Ton obscurité a peine dévoilée, effrayante comme ta beauté est toujours fascinante

Finalement par un résonnement absurde  qu’elle m’a délaissé

Des ficèles non résolus un chagrin qui dura pour des temps 

J’ai passé du temps et du temps a pensé a vous

A combattre toutes idées qui te rend  coupable

Et à me convaincre que le problème n’est nulle part

Il est en moi

Par ou je commence ? Je te fais rire, je te fais jouir,

Tu sais, la récompense que me réserve la nature se trouve en toi

Cette beauté embaumée par la vérité qui donne un gout a mes désirs

J’étais tellement gentil que je n’oublierais jamais ta gentillesse

Tellement  amoureux que je n’oublierais jamais ton amour

 Y’aura toujours ta signature car t’es la première  sur mes terres

 Je men fou de tes qualités ou tes défauts ou bien ton charme

 Car ce n’est pas eux qui m’ont donné  l’étincelle de t’aimer

 C’est cette  première  impression qu’a mit le feu

Je t’es tant aimé  que même j’ai oublié la façon d’aimer

N’attendez pas une rime qui comblera votre joie

Car ce sont les raisins de mes souffrances

Je cherchais partout tes ficelles pour recoudre ma voie

Nulle par ou je m’en aille sans ma voie je suis là ou j’étais

Je me sens épuisé  ces pensées que j’essaie de refouler m’ont fatigué

Je salue ton honneur, quand est-ce que je le reverrai?

Je cherche toujours un titre pour ce drame, quand est c que je le reverrais

Je me suis  douté mais j’étais inconscient pardons mais il est déjà en retard

Surement je lui accorde une faveur, je lui donne un délai qui finira quand je t’oublierais à jamais 

Serai-je un traitre ?  si je ne l’attendais pas,  je sais bien qu’il est enfermé dans l’obscurité

Ton obscurité à peine dévoilée, effrayante comme ta beauté est toujours fascinante

Ce que j’écris est tellement  tragique on parle d’un honneur perdue

Elle a délaissé ces sentiments pour banaliser la vérité

Malgré tout ça j’ai opté pour l’amour non pas la haine que tu méritais

Mes convictions se doutent que tu étais obnubilée par tes projections

Tes considérations mal-réfléchies t’ont doré la pilule

Vous cherchiez l’éternité alors que vous tombez dans l’abolition

Ces pensées fugitives que tu as recommandé, c’est rare que l’on admette la garantie des intellects  éphémères   

Certes, on est censé faire comme ça car on obéie à sa destiné

Tromper, jouer, trahir : les secrets d’amour

Mon dément l’appelait sagesse, il avait des raisons pour la croire