Aller au contenu

Photo

Fragments d'or sur l'exil


  • Veuillez vous connecter pour répondre
4 réponses à ce sujet

#1 Carla.

Carla.

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 2 000 messages

Posté 27 mai 2013 - 02:54

Friable ou brillante dans l'échappée

Le long d'un regard bleu

Avec le sel pour écriture

La main pour criée

Fragments d'or sur l'exil

L'ombre s'est fendue

La pierre s'est jetée



#2 Carla.

Carla.

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 2 000 messages

Posté 28 mai 2013 - 08:57

Merci d'avoir déposé une petite pierre ici...



#3 linfabrice

linfabrice

    Tlpsien ++

  • Membre
  • PipPipPip
  • 84 messages
  • Une phrase ::partager ses parcelles fulgurantes

Posté 28 mai 2013 - 01:41

"...sur le vif..."

 

je ressens davantage

la taille patiente

de la matière lexicale

après la livraison généreuse

de l'émotion

 

alors oui

les éclats d'or

pour consteller

l'excédent évanoui

le superflu

exilé

 

très respectueusement

 

linfabrice



#4 Carla.

Carla.

    Tlpsien +++

  • Membre
  • PipPipPipPip
  • 2 000 messages

Posté 29 mai 2013 - 08:31

Vos deux ressentis sont intéressants. Très différents visiblement. C'est aussi pour cette raison que j'aime les mots et l'écriture, chacun pouvant recueillir ce qui fait écho, ce qui touche, etc...

 

Passez une belle journée toutes les deux. :)



#5 rechab

rechab

    Tlpsien

  • Membre
  • Pip
  • 3 messages

Posté 30 mai 2013 - 08:59

L’art, dans l’imaginaire,  nous transporte  toujours

Et même  crée devant nos yeux l’image de la pensée

C’est un paradis, un enfer, ou , des âmes , la pesée

Les dieux en combat, les allégories  et amours

Au pays de muses, j’aime  voyager, en bonne fortune

Dans les  peintures,                   d’espaces  translucides

A sortir de son mouchoir,              lapin, ou bien lune

Jouer avec les symboles, homard et autres  arachnides

D’un espace noir, et                       peut-être sans atmosphère

Mais agité de courants, fréquenté par les bêtes  de la nuit

Et mouvements, tordant les voilages, ,       qui prolifèrent

Tandis qu’en bas, sous l’oeil des déesses, les hommes  s’enfuient.

C’est le caprice de ces dames, la fantaisie  des dieux

Qui fait le pluie  et le beau temps,                              et notre destin

Notre sort , notre vie se joue, pour ici,            en d’autres lieux

La conduite de ces affaires, n’est pas pour nous, à portée de main.

 

RC  12 mai 2012

 

 

image  :création numérique  perso

Fichier(s) joint(s)