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Mon Iliade(reposte)


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2 réponses à ce sujet

#1 badia

badia

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Posté 29 septembre 2007 - 01:36

Autrefois, humbles et bienfaiteurs
On nous considérait tels de braves hommes
Et même si nous n'étions pas libérateurs,
Nous savions rester bons en somme!

Notre enviable projet et notre bon devoir
Offraient toujours un peu de chaleur
Et durant des temps, l'élite du savoir
Nous étions resté auprès des meilleurs.

Dans le fond, de simples philanthropes
Nous étions synonymes de générosité
Et c'était bien sûr contre les misanthropes
Que nous menions bataille avec ingéniosité

On avait réussi à couronner nos intentions !
Car nous avons tant pleuré pour l'humanité
Et souvent devant l'objection ou la constatation
Nous nous retirions et laissions la vanité

On se disait dans la jubilation « la paix,
est un bien grand salut enviable »
A ceux que la vie n'avait pas satisfait
ou que le destin n'avait pas rendus notables.

Défier donc pour nous les maux du chagrin
Était moins supportable que la soif
Mais pire encore était de braver la faim
Pour qui la postérité n'avait que peu de soif.

Rien ne pouvait nous éviter d'être vrai
Ou juger vraiment notre peu d'amour donné,
À celui que l'on voyait fidèle et vrai,
Et qui ne prenait jamais ce qu'il aurait donné.

Dans notre cercle où l'on honore la sagesse
L'immense amitié envers nous semblables
Était ce qu'il nous affairait sans cesse
Tout comme l'honneur des gueux humbles.

Car, le notre était bien celui de chacun
Plus grand certes, que le devoir en avoir
L'honneur pour tous, bien qu'aucun
Ne devait en user comme pouvoir.

Respecter autrui était notre vœu
Un désir inné que nous avons en nous
Pour l'ensemble de nos instants de vœux
Consacrés aux joies qui nous unis à vous !

L'union avec la paix était notre épopée
Triomphe de nos espoirs les plus fous
Que l'on avait portant réussi sans épée
Et que l'on semait au nom de vous tous.


Tout comme la paix, l'odyssée
De notre raison devait nous guider loin
De l'hypocrisie. Quitte à rendre embarrassé
Les geôliers de l'espoir, devenu besoin !

Mais puisque l'espoir, de peur du décevoir
Se voyait surgir de la crainte de nos charmilles
Notre bonté nous apaisait dès le soir
Avant d'y rêver à nouveau en famille.


Fières nous avions aimé l'humanité
Et l'amour de notre prochain paraissait
Comme notre devoir occulte. Vanité
Que notre raison ne pouvait délaisser.

Nous étions des hommes de cœur
Avides de sécher les larmes qui coulaient
Dans de nos veines désertées de rancœur
larmes qui parce que martyrs fuyaient !



#2 Harry

Harry

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Posté 29 septembre 2007 - 02:01

Tiens donc, des philanthropes qui s'opposent aux misanthropes, bizarre autant qu'étrange.
M'enfin, si c'est pour défendre les "gueux humbles", pourquoi pas.

La tentative est intéressante mais il y a quelques maladresses.

#3 CELUI QUI SAIT

CELUI QUI SAIT

    Tlpsien +++

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  • 2 297 messages

Posté 30 septembre 2007 - 08:53

Autrefois, humbles et bienfaiteursOn nous considérait tels de braves hommesEt même si nous n'étions pas libérateurs,Nous savions rester bons en somme!Notre enviable projet et notre bon devoirOffraient toujours un peu de chaleurEt durant des temps, l'élite du savoirNous étions resté auprès des meilleurs.Dans le fond, de simples philanthropesNous étions synonymes de générositéEt c'était bien sûr contre les misanthropesQue nous menions bataille avec ingéniositéOn avait réussi à couronner nos intentions !Car nous avons tant pleuré pour l'humanitéEt souvent devant l'objection ou la constatationNous nous retirions et laissions la vanitéOn se disait dans la jubilation « la paix, est un bien grand salut enviable »A ceux que la vie n'avait pas satisfaitou que le destin n'avait pas rendus notables.Défier donc pour nous les maux du chagrinÉtait moins supportable que la soif Mais pire encore était de braver la faimPour qui la postérité n'avait que peu de soif. Rien ne pouvait nous éviter d'être vraiOu juger vraiment notre peu d'amour donné,À celui que l'on voyait fidèle et vrai, Et qui ne prenait jamais ce qu'il aurait donné.Dans notre cercle où l'on honore la sagesseL'immense amitié envers nous semblablesÉtait ce qu'il nous affairait sans cesseTout comme l'honneur des gueux humbles.Car, le notre était bien celui de chacunPlus grand certes, que le devoir en avoir L'honneur pour tous, bien qu'aucunNe devait en user comme pouvoir. Respecter autrui était notre vœuUn désir inné que nous avons en nousPour l'ensemble de nos instants de vœuxConsacrés aux joies qui nous unis à vous ! L'union avec la paix était notre épopéeTriomphe de nos espoirs les plus fousQue l'on avait portant réussi sans épéeEt que l'on semait au nom de vous tous.Tout comme la paix, l'odysséeDe notre raison devait nous guider loinDe l'hypocrisie. Quitte à rendre embarrasséLes geôliers de l'espoir, devenu besoin !Mais puisque l'espoir, de peur du décevoirSe voyait surgir de la crainte de nos charmillesNotre bonté nous apaisait dès le soirAvant d'y rêver à nouveau en famille.Fières nous avions aimé l'humanitéEt l'amour de notre prochain paraissaitComme notre devoir occulte. VanitéQue notre raison ne pouvait délaisser.Nous étions des hommes de cœurAvides de sécher les larmes qui coulaientDans de nos veines désertées de rancœurlarmes qui parce que martyrs fuyaient !

Alors appliques ce que tu dis,à commencer par le respect d'autrui.Sinon tu n'es que du vent.Beau en dehors et mort en ton intérieur.