Ce chemin que souvent j’emprunte me ravit.
D’ocre et de rouge vêtu, fier il s’agrémente
D’ombres venues de quelques oiseaux de paradis
Bercés par le vent dans leurs couleurs chatoyantes
Ils dansent pour une Aloès bienfaisante.
Louvoyant entre deux eaux il me conduit
Là où tu attends sur cet autel de farniente.
Baigné du soleil, cet organe de vacance
Te repose. M’approchant tu me souris.
Hola !