Un jour je marchais dans un vert boisé
Au bord d'une rive abandonnée des mers salées
Mon nom de famille n'existais plus
En découverte d'un nouveau sentier perdu
Abandonné par l'espoir du calambour du fractal
En comparaison à cette vie de molécule
Je mis retrouvé l'âme à l'eau au aval
En berge à ma poésie viable qu'elle débulle
Une faculté qui m'habitait débinée
Évitait à mon être d'y accéder
À proximité une trajectoire fluide né croyant en moi
Arrivé effaçant là derrière tout effroi
Du coup des peurs et malaises y demeurent
D'autant la confiance dès l'heure affronte les ardeurs
Depuis la guete d'un soldat telle une frairie
Dépose en moi amour réel pour la vie