5 réponses à ce sujet

[l'aubergiste]

Elle m'a par grande faveur hissé à hauteur de ses yeux

Et me tient allongé entre ses longs doigts diaphanes

Ses yeux ne me quittent pas comme s'ils attendaient

Un prodige quelque révélation un accomplissement

Je sais ce qu'elle attend de moi je m'y suis préparé

Le crible est terriblement étroit qui attend mon passage

Il va falloir être poussière plus poussière que jamais

Si irréversiblement poussière que tous ses souffles

Unis pour me chasser vers les paisibles étoiles là-haut

ne pourront que constater leur cuisant échec

Elle que je nomme ici c'est la mort elle qui me guette

C'est encore la mort elle qui vient là toujours elle

Nous nous étions connus il y a longtemps il y avait eu

Promesse puis nous nous étions fâchés la vie dit on

Ne fait pas de cadeaux je ne lui en ferai pas non plus

Je serai poussière si parfaitement que nul crible

Ne m'empêchera de vivre comme toujours j'ai vécu

Accroché à la crinière du cheval fou qui court l'infini

[CELUI QUI SAIT]

La mort à toujours le dernier mot.....Mais elle t'ouvre la porte d'une autre réalité....Celle de la vérité.Bien à toi.

[l'aubergiste]

BONJOUR LE TEUTON ...

VOICI 3 MOIS QUE JE NE M ETAIS PAS MANIFESTE

CA VA ?


merci pour votre commentaire

[CELUI QUI SAIT]

BONJOUR LE TEUTON ...

VOICI 3 MOIS QUE JE NE M ETAIS PAS MANIFESTE

CA VA ?


merci pour votre commentaire

Etais-tu parti pour un monde meilleur?Ton retour m'enchante.Amitiés.

[Padej]

Elle m'a par grande faveur hissé à hauteur de ses yeux

Et me tient allongé entre ses longs doigts diaphanes

Ses yeux ne me quittent pas comme s'ils attendaient

Un prodige quelque révélation un accomplissement

Je sais ce qu'elle attend de moi je m'y suis préparé

Le crible est terriblement étroit qui attend mon passage

Il va falloir être poussière plus poussière que jamais

Si irréversiblement poussière que tous ses souffles

Unis pour me chasser vers les paisibles étoiles là-haut

ne pourront que constater leur cuisant échec

Elle que je nomme ici c'est la mort elle qui me guette

C'est encore la mort elle qui vient là toujours elle

Nous nous étions connus il y a longtemps il y avait eu

Promesse puis nous nous étions fâchés la vie dit on

Ne fait pas de cadeaux je ne lui en ferai pas non plus

Je serai poussière si parfaitement que nul crible

Ne m'empêchera de vivre comme toujours j'ai vécu

Accroché à la crinière du cheval fou qui court l'infini

L'aubergiste dans son plus beau rôle : remplir les pichets des nectars que lui offrent la vie...
Très beau texte sur un sujet où la poussière ne s'accroche qu'aux dernières notes de la vie... J'ai beaucoup aimé. Amitié.

[l'aubergiste]

BONJOUR CHERE PERPIGNANAISE,

(j'ai des amis là-bas ; Jean Claude et Jeannette)

merci pour votre commentaire qui m'a donné soif
... vous dites avoir beaucoup aimé ! Tant mieux; ça fait plaisir... si on allait boire un coup ?

BIEN A VOUS

CHRISTIAN