Trop souvent est frôlée la surface des temps
À la saveur des larmes
Du passé.
S’éteint alors l’écho des songes repentant
Cet amer goût du charme
Trépassé.
Et s’éloigne la voie de ces pas assourdis
À laquelle s’adonne
Les laquais;
Pas à pas construisant de pâles paradis
Où on y abandonne
Qui l’on est…

Lorsqu’on ne sait plus pourquoi…
Débuté par Vae_soli, mars 19 2007 07:02
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