Salut à toi noble pendu,
Etais-tu un traître ?
Où peut-être était-ce pour se faire connaitre ?
Si oui
Alors tu n'avais pas tord,
Tu n'es pas un déchet historique,
Ton nom n'est pas Candor,
Ou bien d'autres encore.
L'individu tant aimé
Tu l'a trompé,
Et tu ne t'es point trompé,
Peut être était-ce mieux ainsi.
Si si pendu,
C'était bien des spectres,
Immobiles et pourtant mouvants,
Ayant pour unique moyen de transport,
Le vent,
Si si
C'etait bien des spectres.
Petits pouilleux peureux et diaboliques en vu,
Sauve-toi pendu,
Leurs grotesques visages,
Présents partout
Et même sur les murs
Vont te dévorer,
Sauve-toi pendu.
Qui était la machine molle ?
William en parlait,
Selon moi,
Juste pour te rassurer,
Sacré pendu,
Le gentil fils de Joseph,
C'etait lui la machine molle,
Lui et ses idéaux sans forme.
Il faut en finir,
Allez pendu pend-toi,
Ca y'est c'est fini,
Le pendu est pendu,
Ô sacré pendu.

Salut le pendu
Débuté par Goeth, oct. 22 2007 05:40
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