
Pas de littérature. Pas de poésie. Seulement les hommes.
#1
Posté 24 octobre 2007 - 02:30
Mords ma main
Quand je rentre
Une blancheur folle t’illumines
Mais te refroidis
Il est lÃ
Et il entre avant moi
Quoique je disais plus haut être déjà entré
Je mens
Comme je soupir.
Ne le connais-tu pas assez
Pour déjà l’oublier
Ce bruit
Qui t’aspire ?
Passons.
D’abord la crainte.
Pas de littérature
Pas de poésie
Seulement des Hommes.
#2
Posté 24 octobre 2007 - 03:36
#3
Posté 24 octobre 2007 - 05:08
^^
#4
Posté 24 octobre 2007 - 05:27
#5
Posté 24 octobre 2007 - 07:14
J'ai beaucoup aimé.
Brumes1
#6
Posté 24 octobre 2007 - 07:14
#7
Posté 24 octobre 2007 - 07:16
C'est un détail, mais c'est plus qu'un détail. Mais c'est un détail au regard du texte, dont chaque vers renverse ce qui précédait.
#8
Posté 24 octobre 2007 - 08:13
Bien à vous, avec toutes mes névroses et ma conjugaison,
Buse.
#9
Posté 24 octobre 2007 - 08:32
#10
Posté 25 octobre 2007 - 05:33
#11
Posté 25 octobre 2007 - 08:22
La douceur de la poignée
Mords ma main
Quand je rentre
Une blancheur folle t'illumines
Mais te refroidis
Il est lÃ
Et il entre avant moi
Quoique je disais plus haut être déjà entré
Je mens
Comme je soupir.
Ne le connais-tu pas assez
Pour déjà l'oublier
Ce bruit
Qui t'aspire ?
Passons.
D'abord la crainte.
Pas de littérature
Pas de poésie
Seulement des Hommes.
Ne le connais-tu pas assez
Pour déjà l'oublier
Ce bruit
Qui t'aspire ?
Dans un arbre, une branche où tu t'es posée, Buse...
Une marche d'escalier où grincent tes serres d'oiseau de proie !
Tu ne t'es pas arraché la plume pour rien sur ces quelques mots où ici, même sans littérature et poésie, s'exprime (seulement) un ... homme.