Bel canto
A dessein
j’ai laissé rouler ma tête
toute sonore encore
de tous ces mots qui errent sans voix
à la cherche d’un chemin dans l’air
du dehors,
sur la douce fréquence
d’une voix qui sent le bois
Une voix aux abois
qui ralentit le temps
et parfois l’arrête !