Je n'irai plus pécher dans le bas des faubourgs
Ne souffrant nulle offense à la joie de ma vie
Je m'en irai prêcher le bonheur sans retour
A frôler la démence, à m'en sentir contrit
Je me convertirai aux besoins de tes jours
Ferai don d'allégeance aux secrets de tes nuits
Prosterné de ce fait, à genoux dans l'amour
Devant saine évidence, une flamme bénie
Ma profession de foi est gravée en tes lois
Quand je pars pèlerin m'asservir au destin
D'une vie de fortune, et d'un peu de répit
En confession, ma foi, je ne brave l'émoi
Défendant le chemin des chantants lendemains
S'il le faut je serai un templier maudit