L’odeur du café flotte près de ton bureau
Prenantes effluves qui me rappellent les matins
Qui me donnent envie de pousser la porte
Sentir l’étreinte de ton corps
Déguster le son de ta voix
Mais je n’aperçois que ta silhouette
Belle androgyne
Subtile féminité
Enveloppe-moi dans la douceur de ton parfum
Égare-moi dans le courant de tes mots
Détruis-moi de ta grandeur
Surtout ne m’aime pas
Car moi je t’aime déjà trop