Je suis pour hurler silencieusement : CACA ;
Tout est quelconque, suis-je quelconque ? : CACA ;
Je le fais ? je ne le fais pas ? je suis coupable, "Vous êtent non coupable." : CACA ;
Je cours et jette ma tête au fond d'une cuvette : CACA ;
La littérature a engendré certaines pourritures, j'en suis barbouillé : CACA ;
Vivement hier, demain j'etais plus là : CACA ;
Je ne parle plus, j'écris, mais écrire c'est parler, alors parlons sans voix : CACA ;
Un dragon tronc ça ne crache plus de feu, les hommes peuvent le tuer sans souçie et le rendre au feu : CACA ;
J'ai des ailes, certes bien frêles, mais j'ai des ailes, ne les coupez point : CACA ;
Courir et ne plus mentir, sentir venir l'air du vrai, où ça ? : CACA ;
Des poèmes noirâtre, grisâtre, virant au blanc, parfois rougeâtre, jamais rosâtre, des poèmes à abattre, abattez vos poèmes : CACA ;
Le bûcheron : CACA ; Marie : CACA ; Le pendu : CACA ; L'arbre menteur : CACA ; La fleur inutile : CACA, CACA, CACA, CACA.

CACA
Débuté par Goeth, nov. 05 2007 06:26
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 05 novembre 2007 - 06:26
#2
Posté 05 novembre 2007 - 07:33
Eh bien t'as pas une gueule de porte-bonheur.Misére de toi.Bien à toi.
#3
Posté 05 novembre 2007 - 09:42
hé, toi c'c' intelectuel
tu as des ailes, certes bien frêles, mais tu as des ailes, ne les coupez point : CACA ;
Courir et ne plus mentir, sentir venir l'air du vrai, où ça ? : CACA
en voilà un drol de poeme qui sens le....
tu as des ailes, certes bien frêles, mais tu as des ailes, ne les coupez point : CACA ;
Courir et ne plus mentir, sentir venir l'air du vrai, où ça ? : CACA
en voilà un drol de poeme qui sens le....
#4
Posté 06 novembre 2007 - 08:46
oui aziza, tu l'as dis : qui sent la m.....
Brumes1
Brumes1
#5
Posté 19 novembre 2007 - 10:06
Ce qui est moche, ce qui nous dégoûte, ce qu'on rejette, c'est du CACA, et le CACA c'est de l'engrais, la vie pousse dessus !