Le souffle court
Étourdie par ta voix
En manque de ton corps
De t’apercevoir
Longeant le corridor
Laissant derrière de douces parcelles de ta beauté
Et moi je cours m’en imprégner
Saoule de toi
À respirer chaque mot de ton bonjour
Comme la dernière poignée d’air
Comme la dernière femme sur Terre
À t’étreindre d’amour et de haine
Jusqu’à m’éteindre, vaine