16 réponses à ce sujet

[CELUI QUI SAIT]

Pour pimenter notre sexualité déjà débordante,il arrive que nous allions,sur invitation,aux divers cénacles,
Thérapeutique de groupe où chacun et chacune se livrent à ses excés;De l'Amour une cour des miracles,
Cette chalandise triée sur le volet apparaît réguliérement dans ces offices,respectant un décorum,
Chaque personnages essayant une harmonie avec son opposé afin d'atteindre de la jouissance le summum,
Toujours un succés fou ma Marquise qui,convoitée par le nombre,tire les ficelles de celui qu'elle veut prendre,
Moi je chassais à l'affût repérant la timide,celle qui ne refuse rien car sachant qu'elle a tout à apprendre,
Je jetais mon dévolu sur une jeune rousse à la chevelure flamboyante et armée d'arguments frappants,
Nous nous isolâmes,la chair devant être attendrie avant consommation,pour de l'acte dresser les avenants,
Je parlais égarant la brebis,tandis que mes mains s'agittaient aux endroits sensibles lui otant toute rétention,
Fin connaisseur des bonnes choses,ma bouche finit par déguster ce fruit,amenant son soufflard à maturation,
La sainte nitouche cachait en elle les pires démons,voulant presque m'étouffer au bord de son volcan,
Je travaillais en apnée avec quelques respirations prises à la sauvette,je ne pouvais quitter ce joli chaland,
Elle fût prise de frénésie,des mouvements incontrolés,une crise d'épilepsie liée à une jouissance d'exeption,
Je fûs baptisé par l'huile de la sainte communion des innocents,je lui offris mon hostie en gage de rédemption,
Son corps brulait des milles feux de la Saint Jean,et en bon pompier,je lui donnais le liquide de ma lance,
La femme léopard avait sorti ses griffes,venant de ses pires excés d'en faire une démonstration d'abondance,
Aprés quelques heures de ce "terrible tourment",je retrouvais mes pauvres bourses façon fruits desséchés,
Je rejoignis enfin ma Marquise au sourire inquisiteur et avec sa beauté qu'elle a en naturel attaché,
"Madame,je suis exténué par tant de virtuosité en cette Dame au tempérament sulfureux voir volcanique,"
"Monsieur,ce prélude en introduction de l'Amour m'a mise en appétit,pensez donc à entretenir ma mécanique,
La route du retour vous permettra de remonter,concession que je désire ardemment,votre horloge biologique,
Prenez le temps de la récupération,quand votre anguille en moi s'installera je veux la sentir électrique."
Misére de moi,cette vie n'est point de tout repos,ma noblesse s'effrite aux contacts de toutes ces fesses,
Demain,promis,j'arrête et au petit curé de la paroisse je dirais tout de nos folies en secrets de confesse.

[aziza rahmouni]

texte de feu ,loin de toute rétention
ouvrant sur volcant d'exeption
échappant à toute rédemption
toi qui sait,tu te converti vers les fesses
plus besoin de curé , ni confesse
pense à entretenir ta mécanique
pour sauvegarder ton tempérament volcanique
.....bisou bien a toi qui sait!

[hirondelle]

Très bien écris...Au plaisir de te lire...
Amitiés,H.

[charly java]

Hé bien voilà, ce qui est bien avec toi, c'est qu'il ne faut pas attendre longtemps...
Comme je le disais un peu plus bas, en réponse à l'un de tes commentaires: tu toi te dédoubler, d'ailleurs, la Marquise semble le souhaiter.
Et poète libertin, et chrétien pratiquant. Mais je te conseille quand-même de réserver le confessionnal pour quelques heures, tu as beaucoup à dire...le mieux serait d'ailleurs que tu amènes tes écrits au petit curé...là, à mon avis, tu seras pardonné...et tu pourras continuer...

[CELUI QUI SAIT]

texte de feu ,loin de toute rétention
ouvrant sur volcant d'exeption
échappant à toute rédemption
toi qui sait,tu te converti vers les fesses
plus besoin de curé , ni confesse
pense à entretenir ta mécanique
pour sauvegarder ton tempérament volcanique
.....bisou bien a toi qui sait!

Je suis aux supers vitamines....Pour l'instant cela tient.Pourvu qu'il y est un entracte.Amitié.

Très bien écris...Au plaisir de te lire...
Amitiés,H.

Toujours ravi de ton passage.Bise la Miss des steppes.

Hé bien voilà, ce qui est bien avec toi, c'est qu'il ne faut pas attendre longtemps...
Comme je le disais un peu plus bas, en réponse à l'un de tes commentaires: tu toi te dédoubler, d'ailleurs, la Marquise semble le souhaiter.
Et poète libertin, et chrétien pratiquant. Mais je te conseille quand-même de réserver le confessionnal pour quelques heures, tu as beaucoup à dire...le mieux serait d'ailleurs que tu amènes tes écrits au petit curé...là, à mon avis, tu seras pardonné...et tu pourras continuer...

Le curé est là pour me rassurer....Lui il ne peut rien pardonner le pauvre.Comme je fais toujours ce qu'il plait à ma Marquise,je n'ai point fini de croquer dans la pomme.Merci le Charly de ton passage,le prochain la semaine prochaine(Si Dieu le veut).Amitié.

[TUPI]

superbe

Bien à toi...

[CELUI QUI SAIT]

superbe

Bien à toi...

Aussi belle que toi.Bise ma Belle.

[moments de grace]

Pour pimenter notre sexualité déjà débordante,il arrive que nous allions,sur invitation,aux divers cénacles,
Thérapeutique de groupe où chacun et chacune se livrent à ses excés;De l'Amour une cour des miracles,
Cette chalandise triée sur le volet apparaît réguliérement dans ces offices,respectant un décorum,
Chaque personnages essayant une harmonie avec son opposé afin d'atteindre de la jouissance le summum,
Toujours un succés fou ma Marquise qui,convoitée par le nombre,tire les ficelles de celui qu'elle veut prendre,
Moi je chassais à l'affût repérant la timide,celle qui ne refuse rien car sachant qu'elle a tout à apprendre,
Je jetais mon dévolu sur une jeune rousse à la chevelure flamboyante et armée d'arguments frappants,
Nous nous isolâmes,la chair devant être attendrie avant consommation,pour de l'acte dresser les avenants,
Je parlais égarant la brebis,tandis que mes mains s'agittaient aux endroits sensibles lui otant toute rétention,
Fin connaisseur des bonnes choses,ma bouche finit par déguster ce fruit,amenant son soufflard à maturation,
La sainte nitouche cachait en elle les pires démons,voulant presque m'étouffer au bord de son volcan,
Je travaillais en apnée avec quelques respirations prises à la sauvette,je ne pouvais quitter ce joli chaland,
Elle fût prise de frénésie,des mouvements incontrolés,une crise d'épilepsie liée à une jouissance d'exeption,
Je fûs baptisé par l'huile de la sainte communion des innocents,je lui offris mon hostie en gage de rédemption,
Son corps brulait des milles feux de la Saint Jean,et en bon pompier,je lui donnais le liquide de ma lance,
La femme léopard avait sorti ses griffes,venant de ses pires excés d'en faire une démonstration d'abondance,
Aprés quelques heures de ce "terrible tourment",je retrouvais mes pauvres bourses façon fruits desséchés,
Je rejoignis enfin ma Marquise au sourire inquisiteur et avec sa beauté qu'elle a en naturel attaché,
"Madame,je suis exténué par tant de virtuosité en cette Dame au tempérament sulfureux voir volcanique,"
"Monsieur,ce prélude en introduction de l'Amour m'a mise en appétit,pensez donc à entretenir ma mécanique,
La route du retour vous permettra de remonter,concession que je désire ardemment,votre horloge biologique,
Prenez le temps de la récupération,quand votre anguille en moi s'installera je veux la sentir électrique."
Misére de moi,cette vie n'est point de tout repos,ma noblesse s'effrite aux contacts de toutes ces fesses,
Demain,promis,j'arrête et au petit curé de la paroisse je dirais tout de nos folies en secrets de confesse.

"Monsieur,ce prélude en introduction de l'Amour m'a mise en appétit..."
je pense comme le personnage..! tout ceci est trop court
vous en avez trop dit ou pas assez..
(sourire)
amicalement.

[CELUI QUI SAIT]

Fait quand même gaffe ou tu trempes ta nouille...hein quand même!

Toujours sortir couvert

Et pis Bonne chance chez le curé !

Yes nous sortons toujours couverts.Plus de curé,avec le carcan de nos pêchers,nous avons demandé une entrevue au pape,car Dieu ne répond pas.Misére de nous.

"Monsieur,ce prélude en introduction de l'Amour m'a mise en appétit..."
je pense comme le personnage..! tout ceci est trop court
vous en avez trop dit ou pas assez..
(sourire)
amicalement.

Toujours avoir une réserve de mots et d'expressions pour ne point choquer,et cela fait travailler ton imaginaire.Toujours conserver une part de rêve.Amitiés




(

[Padej]

...

Brio et "luxuriance" des mots pour cette joute charnelle qui ne saurait vous désarçonner, Marquis !

Un exercice de style à consommer avec modération ... Non ... Peut-être... Oui...

Ha.. là.. là.. Quand on aime, on ne compte pas !

Mes sincères Amitiés, Marquis.

...

[CELUI QUI SAIT]

...

Brio et "luxuriance" des mots pour cette joute charnelle qui ne saurait vous désarçonner, Marquis !

Un exercice de style à consommer avec modération ... Non ... Peut-être... Oui...

Ha.. là.. là.. Quand on aime, on ne compte pas !

Mes sincères Amitiés, Marquis.

...

De sérieux doutes sur ta conduite à tenir....Basculerais-tu vers la tentation?Amitié Miss Padej.

[CELUI QUI SAIT]

[

Le titre était prometteur.
C'est du pur P. CC?

Tu peux toujours lire autre lecture.Les choses de l'Amour te font peur?Encore jouvencelle ou promise à une carriére de dévotion?Bien à toi.

[
Tu peux toujours lire autre lecture.Les choses de l'Amour te font peur?Encore jouvencelle ou promise à une carriére de dévotion?Bien à toi.

[_Myosotis_]

Bravo, très drôle et très bien écrit... notamment ("ma noblesse s'effrite aux contacts de toutes ces fesses"). que dire de plus... ne t'arrête pas .
encore bravo et merci.

[Maurice Oreste]

Pour pimenter notre sexualité déjà débordante,il arrive que nous allions,sur invitation,aux divers cénacles,
Thérapeutique de groupe où chacun et chacune se livrent à ses excés;De l'Amour une cour des miracles,
Cette chalandise triée sur le volet apparaît réguliérement dans ces offices,respectant un décorum,
Chaque personnages essayant une harmonie avec son opposé afin d'atteindre de la jouissance le summum,
Toujours un succés fou ma Marquise qui,convoitée par le nombre,tire les ficelles de celui qu'elle veut prendre,
Moi je chassais à l'affût repérant la timide,celle qui ne refuse rien car sachant qu'elle a tout à apprendre,
Je jetais mon dévolu sur une jeune rousse à la chevelure flamboyante et armée d'arguments frappants,
Nous nous isolâmes,la chair devant être attendrie avant consommation,pour de l'acte dresser les avenants,
Je parlais égarant la brebis,tandis que mes mains s'agittaient aux endroits sensibles lui otant toute rétention,
Fin connaisseur des bonnes choses,ma bouche finit par déguster ce fruit,amenant son soufflard à maturation,
La sainte nitouche cachait en elle les pires démons,voulant presque m'étouffer au bord de son volcan,
Je travaillais en apnée avec quelques respirations prises à la sauvette,je ne pouvais quitter ce joli chaland,
Elle fût prise de frénésie,des mouvements incontrolés,une crise d'épilepsie liée à une jouissance d'exeption,
Je fûs baptisé par l'huile de la sainte communion des innocents,je lui offris mon hostie en gage de rédemption,
Son corps brulait des milles feux de la Saint Jean,et en bon pompier,je lui donnais le liquide de ma lance,
La femme léopard avait sorti ses griffes,venant de ses pires excés d'en faire une démonstration d'abondance,
Aprés quelques heures de ce "terrible tourment",je retrouvais mes pauvres bourses façon fruits desséchés,
Je rejoignis enfin ma Marquise au sourire inquisiteur et avec sa beauté qu'elle a en naturel attaché,
"Madame,je suis exténué par tant de virtuosité en cette Dame au tempérament sulfureux voir volcanique,"
"Monsieur,ce prélude en introduction de l'Amour m'a mise en appétit,pensez donc à entretenir ma mécanique,
La route du retour vous permettra de remonter,concession que je désire ardemment,votre horloge biologique,
Prenez le temps de la récupération,quand votre anguille en moi s'installera je veux la sentir électrique."
Misére de moi,cette vie n'est point de tout repos,ma noblesse s'effrite aux contacts de toutes ces fesses,
Demain,promis,j'arrête et au petit curé de la paroisse je dirais tout de nos folies en secrets de confesse.

Ton texte est plein d'images et la poétique ne pouvait être meilleure. A côté des dons de l'imagination accordés par la muse, tu possèdes la magie du "verbe" et ta source d'inspiration est intarissable.
Bravo!
Amicalement,

Maurice

[CELUI QUI SAIT]

Ton texte est plein d'images et la poétique ne pouvait être meilleure. A côté des dons de l'imagination accordés par la muse, tu possèdes la magie du "verbe" et ta source d'inspiration est intarissable.
Bravo!
Amicalement,

Maurice

Merci Maurice.....Je fais une pause en écriture.....Je reviendrais un jour.Amitiés

Bravo, très drôle et très bien écrit... notamment ("ma noblesse s'effrite aux contacts de toutes ces fesses"). que dire de plus... ne t'arrête pas .
encore bravo et merci.

Merci belle fleur.Mais je pause en ce moment.Un jour prochain....peut être.Amitié.

Yes.Le curé n'y peut plus rien,j'ai demandé une audience au trés "saint" père,vu que Dieu est aux abonnés absents.Merci de ton passage.

[sanaa]

voilà ce que ceci m'inspire, et surtout ne t'arrête pas ...

Tu es mon grand méchant loup.

Qui assouvit mes désirs les plus fous.

Qui excite mes nerfs sensibles,

Qui prend mon corps pour cible.



Tu es le fauve, le fort.

Comme un vrai carnivore.

Tu dévores mon corps.

Lèche ses recoins et rebords.



Tu es le féroce qui gonfle mon centre.

Qui remplit ma bouche et mon ventre.

Qui explose, mes orgasmes.

En douleurs et spasmes !



Tu es le chef qui peut me saisir.

Par mon plus grand plaisir,

Pour que sous son étreinte.

Je pousse de grands soupirs.





voilà ce que ceci m'inspire, et surtout ne t'arrête pas ...

Tu es mon grand méchant loup.

Qui assouvit mes désirs les plus fous.

Qui excite mes nerfs sensibles,

Qui prend mon corps pour cible.



Tu es le fauve, le fort.

Comme un vrai carnivore.

Tu dévores mon corps.

Lèche ses recoins et rebords.



Tu es le féroce qui gonfle mon centre.

Qui remplit ma bouche et mon ventre.

Qui explose, mes orgasmes.

En douleurs et spasmes !



Tu es le chef qui peut me saisir.

Par mon plus grand plaisir,

Pour que sous son étreinte.

Je pousse de grands soupirs.

[Maurice Oreste]

voilà ce que ceci m'inspire, et surtout ne t'arrête pas ...

Tu es mon grand méchant loup.

Qui assouvit mes désirs les plus fous.

Qui excite mes nerfs sensibles,

Qui prend mon corps pour cible.



Tu es le fauve, le fort.

Comme un vrai carnivore.

Tu dévores mon corps.

Lèche ses recoins et rebords.



Tu es le féroce qui gonfle mon centre.

Qui remplit ma bouche et mon ventre.

Qui explose, mes orgasmes.

En douleurs et spasmes !



Tu es le chef qui peut me saisir.

Par mon plus grand plaisir,

Pour que sous son étreinte.

Je pousse de grands soupirs.





voilà ce que ceci m'inspire, et surtout ne t'arrête pas ...

Tu es mon grand méchant loup.

Qui assouvit mes désirs les plus fous.

Qui excite mes nerfs sensibles,

Qui prend mon corps pour cible.



Tu es le fauve, le fort.

Comme un vrai carnivore.

Tu dévores mon corps.

Lèche ses recoins et rebords.



Tu es le féroce qui gonfle mon centre.

Qui remplit ma bouche et mon ventre.

Qui explose, mes orgasmes.

En douleurs et spasmes !



Tu es le chef qui peut me saisir.

Par mon plus grand plaisir,

Pour que sous son étreinte.

Je pousse de grands soupirs.

Merci pour ce joli poème, cela me fait grand plaisir de te lire. Amitiés

Maurice