
Crève-Coeur
#1
Posté 09 novembre 2007 - 06:54
Le jour de mon anniversaire
Le venin amer et mortel
Me transperce le cœur
Emu jusqu’aux larmes,
J’emprunte la route du calvaire
Ma joie, refermée comme un éventail,
Cache mes émotions discrètes.
Hier encore elle couvrait de fleurs,
Ses petits mots doux, charmants
Ne faisaient point la cour
Aux amours mensongères ;
Mais hélas, elle a disparu.
Des souvenirs ! Rien qu’une photo,
Une photo ne fait point le bonheur,
Une photo ne sourit pas,
Ne soulage pas un crève-cœur.
Sans un baiser final
Ou des adieux fatals
Pas même une lettre d’adieu
Sur du papier jaune
Elle est partie sans clairon ni tambour
Mais dans mon âme meurtrie
La flamme ne s’éteint pas.
Sa photo devant moi, muette
Ne fait point le récit
Des années de bonheur cueillies
A l’embouchure de « Latirolli »
Ou sur les pierres de « Bassin Joseph »
A la tombée de la nuit…
Ni conter les aventures amoureuses
A l’embouchure de la « Rivière des Barres »
Sous un ciel de midi
Où l’on se mange cru !
Quelle fringale d’amour…
J’ai perdu le parfum des jasmins
Mêlés aux goûts des baisers succulents
Qui brûlaient nos lèvres
Au soir de nos rencontres amoureuses,
Et la senteur de nos corps
Sur nos couches de paille sèche
Après nos aventures sexuelles
Dans des campagnes avoisinantes.
L’as-tu vue, rivière,
Calme mon angoisse
Et toi montagne, par quel chemin
Est –elle passée ?
J’implore les saints du ciel
En balbutiant son nom sept fois
Pour qu’elle me revienne ;
Mais jusques à quand, cœur endolori,
Cesseras-tu de gémir ?
Il pleut dans mon cœur,
Mais la flamme se rallume
Je crie sans cesse son nom
Aux quatre coins de la terre
Mais enfin elle reste sourde
A mes cris angoissants…
C’en est fait hélas !
Mon cœur est abattu
J’accepte malgré moi
Ce cadeau d’anniversaire.
#2
Posté 11 novembre 2007 - 12:20
En balbutiant son nom sept fois
Pour qu’elle me revienne ;
...
pour quoi revenir vers tes cieux
toi que quelle cherissait comme un dieu
...
Je crie sans cesse son nom
Aux quatre coins de la terre
Mais enfin elle reste sourde
A mes cris angoissants…
......
elle n'est pas sourde
sa peine est si lourde
......
Mon cœur est abattu
J’accepte malgré moi
....
accepte ta défaite
tu l'as mérrite
MAURICE, accepte mon intrusion sur ton poeme que j'aime.....amitié.
#3
Posté 11 novembre 2007 - 06:36
J'implore les saints du ciel
En balbutiant son nom sept fois
Pour qu'elle me revienne ;
...
pour quoi revenir vers tes cieux
toi que quelle cherissait comme un dieu
...
Je crie sans cesse son nom
Aux quatre coins de la terre
Mais enfin elle reste sourde
A mes cris angoissants…
......
elle n'est pas sourde
sa peine est si lourde
......
Mon cœur est abattu
J'accepte malgré moi
....
accepte ta défaite
tu l'as mérrite
MAURICE, accepte mon intrusion sur ton poeme que j'aime.....amitié.
Ma coupe s'est brisée encore pleine
Le malheur quotidien me suit pas à pas
Quiconque veut ce soir chasser ma peine
M'invitera à me blottir dans ses bras...
Il n'y a rien de plus cruelle que la séparation. Je porte encore dans mon coeur les cicatrices de sa disparition, rien ne peut panser mon âme endolorie.
Bien à toi mon amie,
Maurice
#4
Posté 11 novembre 2007 - 11:14
passade dans des bras offrant la chaleure pour un soir qui ne pansera jamais la plaie laissée par celle qui est partie...
#5
Posté 12 novembre 2007 - 03:45
solution de raccomodage!
passade dans des bras offrant la chaleure pour un soir qui ne pansera jamais la plaie laissée par celle qui est partie...
Tu vois, il est impossible de combler ce fossé laissé après elle.
Bien à toi,
Maurice