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Crève-Coeur


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4 réponses à ce sujet

#1 Maurice Oreste

Maurice Oreste

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Posté 09 novembre 2007 - 06:54

Une coupe vide m’est offerte

Le jour de mon anniversaire

Le venin amer et mortel

Me transperce le cœur

Emu jusqu’aux larmes,

J’emprunte la route du calvaire

Ma joie, refermée comme un éventail,

Cache mes émotions discrètes.

Hier encore elle couvrait de fleurs,

Ses petits mots doux, charmants

Ne faisaient point la cour

Aux amours mensongères ;

Mais hélas, elle a disparu.

Des souvenirs ! Rien qu’une photo,

Une photo ne fait point le bonheur,

Une photo ne sourit pas,

Ne soulage pas un crève-cœur.

Sans un baiser final

Ou des adieux fatals

Pas même une lettre d’adieu

Sur du papier jaune

Elle est partie sans clairon ni tambour

Mais dans mon âme meurtrie

La flamme ne s’éteint pas.

Sa photo devant moi, muette

Ne fait point le récit

Des années de bonheur cueillies

A l’embouchure de « Latirolli »

Ou sur les pierres de « Bassin Joseph »

A la tombée de la nuit…

Ni conter les aventures amoureuses

A l’embouchure de la « Rivière des Barres »

Sous un ciel de midi

Où l’on se mange cru !

Quelle fringale d’amour…

J’ai perdu le parfum des jasmins

Mêlés aux goûts des baisers succulents

Qui brûlaient nos lèvres

Au soir de nos rencontres amoureuses,

Et la senteur de nos corps

Sur nos couches de paille sèche

Après nos aventures sexuelles

Dans des campagnes avoisinantes.

L’as-tu vue, rivière,

Calme mon angoisse

Et toi montagne, par quel chemin

Est –elle passée ?

J’implore les saints du ciel

En balbutiant son nom sept fois

Pour qu’elle me revienne ;

Mais jusques à quand, cœur endolori,

Cesseras-tu de gémir ?

Il pleut dans mon cœur,

Mais la flamme se rallume

Je crie sans cesse son nom

Aux quatre coins de la terre

Mais enfin elle reste sourde

A mes cris angoissants…

C’en est fait hélas !

Mon cœur est abattu

J’accepte malgré moi

Ce cadeau d’anniversaire.

#2 aziza rahmouni

aziza rahmouni

    aziza rahmouni

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Posté 11 novembre 2007 - 12:20

J’implore les saints du ciel

En balbutiant son nom sept fois

Pour qu’elle me revienne ;
...
pour quoi revenir vers tes cieux
toi que quelle cherissait comme un dieu
...
Je crie sans cesse son nom

Aux quatre coins de la terre

Mais enfin elle reste sourde

A mes cris angoissants…
......
elle n'est pas sourde
sa peine est si lourde
......
Mon cœur est abattu

J’accepte malgré moi
....
accepte ta défaite
tu l'as mérrite
MAURICE, accepte mon intrusion sur ton poeme que j'aime.....amitié.

#3 Maurice Oreste

Maurice Oreste

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Posté 11 novembre 2007 - 06:36

J'implore les saints du ciel

En balbutiant son nom sept fois

Pour qu'elle me revienne ;
...
pour quoi revenir vers tes cieux
toi que quelle cherissait comme un dieu
...
Je crie sans cesse son nom

Aux quatre coins de la terre

Mais enfin elle reste sourde

A mes cris angoissants…
......
elle n'est pas sourde
sa peine est si lourde
......
Mon cœur est abattu

J'accepte malgré moi
....
accepte ta défaite
tu l'as mérrite
MAURICE, accepte mon intrusion sur ton poeme que j'aime.....amitié.


Ma coupe s'est brisée encore pleine
Le malheur quotidien me suit pas à pas
Quiconque veut ce soir chasser ma peine
M'invitera à me blottir dans ses bras...

Il n'y a rien de plus cruelle que la séparation. Je porte encore dans mon coeur les cicatrices de sa disparition, rien ne peut panser mon âme endolorie.

Bien à toi mon amie,

Maurice

#4 aziza rahmouni

aziza rahmouni

    aziza rahmouni

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Posté 11 novembre 2007 - 11:14

solution de raccomodage!
passade dans des bras offrant la chaleure pour un soir qui ne pansera jamais la plaie laissée par celle qui est partie...

#5 Maurice Oreste

Maurice Oreste

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Posté 12 novembre 2007 - 03:45

solution de raccomodage!
passade dans des bras offrant la chaleure pour un soir qui ne pansera jamais la plaie laissée par celle qui est partie...


Tu vois, il est impossible de combler ce fossé laissé après elle.


Bien à toi,

Maurice