Le ciel saigne noir,
Et mes masques succombent a ce fardeau
Ah ! Maudit rideau suintant le soir,
Mon âme en lambeau
Expire au cœur du blizzard
Que nul ne peut émouvoir,
Espoir. Espoir, espoir ...
Le ciel saigne noir,
Règne des souvenirs émergeant des abysses.
Ah! Maudit soient ces vaines pensees
Riantes a me faire choir,
Et les âcres flambeaux du désespoir,
Éteignant mon souffle en milles nuées de supplices.
Oh, bel espoir...
Sur mon âme peux tu encore pleuvoir ?