En marge à la rue des Miracles
Trottoirs, ils absorbent
Et les chants indolents
Et les lourds soupirs
Et les pas oppressés
Et les pas trop préssés.
Ce soir de ciel gris en larmes
Tous les sans voix tiennent en eux
La lourdeur de la parole bâillonnée.
Mais, dans la paume verte d'une main
La source limpide arrose le champ bleu,
Et, deux coeurs en toute liberté s'unissent,
Ils donnent vie à la plus belle métaphore.
bibi 2007

VISAGES SANS VOIX !
Débuté par bibi, nov. 13 2007 08:51
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