Au profond de chaque être là où le dieu habite
une petite voix qui seule ne s’entend guère
qui lutte pour la vie et qui craint pour les guerres
s’allie à d’autres voix que l’injustice irrite
toutes ensembles elles complotent et trouvent enfin les mots
qui dansent sur les notes comme l’eau des rivières
Une chanson des rues un refrain populaire
Que les lèvres fredonnent pour adoucir les maux
C’est l’ardente prière que l’homme adresse au père
C’est le oui attendu d’une femme à son amant
Le sourire attentif d’une mère à son enfant
C’est la belle cohue du peuple qui se libère
Qui éclaire l’avenue de milliers de lumières
Comme un souffle d’air pur transporte des diamants
Alain
http://www.mespoemes.net/recreation

Le vent d'hiver
Débuté par recreation, nov. 15 2007 02:05
Aucune réponse à ce sujet