Tlpsien ++
Posté 28 août 2014 - 09:28
C'était le temps où ce couplet
S'en effleurait de douces courbes.
Quand tes jarrets, bien frêles et fourbes,
Bougeaient du chant sans le souffler.
Le vent qui prend, tôt le matin
Le droit chemin, des belles boucles
Devant l'éclat aux escarboucles.
Et dans tes yeux, un air mutin...
Belle amie, Toi! Il conviendra
De faire à nous une pastelle,
Quand l'avenir accomplira
Notre bonheur de chaque instant.
Ma larme à toi, va et chancelle
De l'émotion.. A toi longtemps.
Le chant d'amant
Tlpsien +++
Posté 28 août 2014 - 09:47
Je ne sais pas pourquoi mais ça me fait penser à la chanson de Raphael, surement la nostalgie qui du poème se dégage.
Vive le vent de l'hiver
Et la chanson de Prévert
Continue sa route à l'envers
Dans le rétroviseur.
Tlpsien ++
Posté 29 août 2014 - 01:22
Quand vous le dites oui, je le trouve aussi. La langueur et la nostalgie transcendent et se retrouvent bien souvent traitées. Merci de votre lecture.
