11 réponses à ce sujet

[sanaa]

Mon être autrefois animé par le mouvement.

Qu'importe que ce soit factuel, fiction ou illusion ?

Ils emportaient au moins mon esprit dans l'excitation.



Aujourd'hui, l'ennui sournois s'installe avec délectation.

Je vois noir, ensuite gris, et parfois rose furibond.

Je suis anéantie par l'attente et la résignation.



Sordide destinée ! Vas-tu persister encore longtemps ?

Je ne suis pas le seul Être sur Terre et ta seule fonction.

Il ya aussi des êtres ingrat et des esprits désolés d'être triomphants.



Attends mes faveurs me diras-tu :

La roue de la fortune tourne. Oh ! Que si.

Assagi toi et je serais à ta merci.



Hontes à moi, si je crois encore en toi

Tu as chassé l'amour et tu as ciblé ta proie

Je suis perdue et je n'ai plus la foi



Dis moi donc ! Qui es-tu pour me vaincre ?

Dis moi donc ! Que sois tu pour te craindre ?

Dieu est le haut et toi ici bas pour feindre



Mon Dieu unique, strict et clément à la fois

Je suis votre misérable serviteur,

Oh ! Dieu, rendez- moi la foi

Si la destinée est commandée par vous,

Alors je consenti et j'y crois



Si c'est l'ennui que vous m'aviez prédit,

Alors j'attendrais votre amnistie.

Et si ce n'est pas pour aujourd'hui ni ici.

Alors, j'attendrais la délivrance dans l'autre vie.

[Maurice Oreste]

Mon être autrefois animé par le mouvement.

Qu'importe que ce soit factuel, fiction ou illusion ?

Ils emportaient au moins mon esprit dans l'excitation.



Aujourd'hui, l'ennui sournois s'installe avec délectation.

Je vois noir, ensuite gris, et parfois rose furibond.

Je suis anéantie par l'attente et la résignation.



Sordide destinée ! Vas-tu persister encore longtemps ?

Je ne suis pas le seul Être sur Terre et ta seule fonction.

Il ya aussi des êtres ingrat et des esprits désolés d'être triomphants.



Attends mes faveurs me diras-tu :

La roue de la fortune tourne. Oh ! Que si.

Assagi toi et je serais à ta merci.



Hontes à moi, si je crois encore en toi

Tu as chassé l'amour et tu as ciblé ta proie

Je suis perdue et je n'ai plus la foi



Dis moi donc ! Qui es-tu pour me vaincre ?

Dis moi donc ! Que sois tu pour te craindre ?

Dieu est le haut et toi ici bas pour feindre



Mon Dieu unique, strict et clément à la fois

Je suis votre misérable serviteur,

Oh ! Dieu, rendez- moi la foi

Si la destinée est commandée par vous,

Alors je consenti et j'y crois



Si c'est l'ennui que vous m'aviez prédit,

Alors j'attendrais votre amnistie.

Et si ce n'est pas pour aujourd'hui ni ici.

Alors, j'attendrais la délivrance dans l'autre vie.

Le coeur de l'homme juste est un vase de pleurs. Ne t'en fais pas, la voie est claire car ce qui t'attend tu l'as déjà vécu. Ouvres ton coeur pour y mettre l'amour... J'aime ton poème. Amitiés!

Maurice

[sanaa]

Le coeur de l'homme juste est un vase de pleurs. Ne t'en fais pas, la voie est claire car ce qui t'attend tu l'as déjà vécu. Ouvres ton coeur pour y mettre l'amour... J'aime ton poème. Amitiés!

Maurice

merci Maurice, j'en suis ravie...

au plaisir de te lire

amitiés

[Maurice Oreste]

merci Maurice, j'en suis ravie...

au plaisir de te lire

amitiés

Un plaisir sans nul doute partagé. Amitiés!

Maurice

[sanaa]

Pareil que pour confessions de 'Oreste'
C'est navrant et mal écrit : je ne parle pas simplement de la construction (poétique) du texte mais bien de
Que sois tu pour te craindre ?
Tu as chassé l'amour et tu as ciblé ta proie
Je ne suis pas le seul Être sur Terre et ta seule fonction.
etc etc

Je sais la litanie, quand on aime pas, on passe son chemin mais il est dit :
aide ton prochain!


Rien n'est grave sinon en l'état de se prendre au sérieux (et pis! de prendre son texte au sérieux)

C’est bien votre réponse qui est une litanie de reproches, pis encore, vous faites des critiques « non constructives » et vous vous prenez vous-même au sérieux « critique littéraire ». Je ne pense pas participer à un concours, pour attendre de vous des jugements pareils. Au plaisir de vous lire et de vous féliciter pour vos écrits irréprochables. À quand le prix du poète !!! J’espère qu’il vous sera décerné cette année.

bon courage à vous.

[sanaa]

pareil que pour 'Confessions'

Comme disent les americains: anyway, forget it!

[Baptiste]

Je serre ma maman comme un petit singe.

[sanaa]

Je serre ma maman comme un petit singe.

????

[Maurice Oreste]

C'est bien votre réponse qui est une litanie de reproches, pis encore, vous faites des critiques « non constructives » et vous vous prenez vous-même au sérieux « critique littéraire ». Je ne pense pas participer à un concours, pour attendre de vous des jugements pareils. Au plaisir de vous lire et de vous féliciter pour vos écrits irréprochables. À quand le prix du poète !!! J'espère qu'il vous sera décerné cette année.

bon courage à vous.

AnneLyse,

Tes critiques auraient été bien reçues si elles étaient objectives. Elles sont plûtot ascerbes, agressives etc. Religion mise à part, j'aimerais que tu commentes sur le texte, en un mot sur le poème "Confessions". Chacun choisit son évasion selon son goût...tu peux l'aimer ou pas... mais que faire de ceux qui l'aiment? S'il s'agit pour toi un moyen de te défouler ou une sorte d'exutoire verbal alors arrêtons là; dans le cas contraire, j'aimerais bien que tu fasses l'analyse critique du poème "Confessions" sans arrogance aucune en exposant les erreurs de langue et de style.

Bien à toi, poétesse

Maurice


Maurice

[Baptiste]

Pffrt noobs

[Maurice Oreste]

pareil "que" pour 'Confessions' ?

Tes critiques ne sont pas littéraires.


Maurice

[solitaire]

Mon être autrefois animé par le mouvement.

Qu'importe que ce soit factuel, fiction ou illusion ?

Ils emportaient au moins mon esprit dans l'excitation.



Aujourd'hui, l'ennui sournois s'installe avec délectation.

Je vois noir, ensuite gris, et parfois rose furibond.

Je suis anéantie par l'attente et la résignation.



Sordide destinée ! Vas-tu persister encore longtemps ?

Je ne suis pas le seul Être sur Terre et ta seule fonction.

Il ya aussi des êtres ingrat et des esprits désolés d'être triomphants.



Attends mes faveurs me diras-tu :

La roue de la fortune tourne. Oh ! Que si.

Assagi toi et je serais à ta merci.



Hontes à moi, si je crois encore en toi

Tu as chassé l'amour et tu as ciblé ta proie

Je suis perdue et je n'ai plus la foi



Dis moi donc ! Qui es-tu pour me vaincre ?

Dis moi donc ! Que sois tu pour te craindre ?

Dieu est le haut et toi ici bas pour feindre



Mon Dieu unique, strict et clément à la fois

Je suis votre misérable serviteur,

Oh ! Dieu, rendez- moi la foi

Si la destinée est commandée par vous,

Alors je consenti et j'y crois



Si c'est l'ennui que vous m'aviez prédit,

Alors j'attendrais votre amnistie.

Et si ce n'est pas pour aujourd'hui ni ici.

Alors, j'attendrais la délivrance dans l'autre vie.

BONSOIR,CHERE AMIE

En te lisant,je me vois a travers les vers et je revis tes peines et tes angoisses.Oui, foi et resignation sont un moyen pour survivre,mais rien n'est eagal a l'amour-espoir pour eviter le temps qui nous pourchasse.L'amour il faut l'inventer s'il n'existait pas,il faudra le rechercher car il est sans doute qquepart,moi j'y crois comme je crois en Dieu

c'est un poeme de douleurs,un appel au secours,mais tu ne seras sauvee que par toi-meme,courage

amities,solitaire