3 réponses à ce sujet

[sanaa]

Ils aiment étreindre leurs corps l'un dans l'autre.

L'envie soudaine jaillit de partout.

Ils expriment sur leur couche le manque de l'autre.

Et la peur de se perdre se ressent de partout.



On les voit parfois glacés par le deuil de l'abandon.

Ils cherchent encore, le plaisir perfide et le doux amant.

Ils semblent se réclamer des ébats, plus ardents.

Pour retrouver la légèreté de leurs vieux serments.



Le parfum dissipé, ils se respirent puis se donnent.

Ils goûtent aux fruits des douces tortures.

Ils se débattent, ils se révoltent et ils s'abandonnent.

Ils s'étonnent d'avoir pu tant résister à l'amertume.



Par le profond, le mystérieux, le mystique, ils sont épris.

Et se recueillent dans le souvenir des plaisirs exquis.

Dans le présent éphémère, le passé ressuscité, et le futur fortuit.

Ainsi, les amants sur leurs corps, l'amour se reproduit.



Ils jurent de ne plus succomber à la volupté.

Les amants connaissent l'ivresse de la chair,

Mais, L'un dans l'autre, ils oublient la clandestinité.

Et ils obéissent à leur vœu le plus cher !

[CELUI QUI SAIT]

Aimer ne serait-ce qu'une fois,
Mais,j'ai trop vécu,car trop aimé,
Toutes celles qui m'ont proclammé,
De n'aimer que pour la premiére fois.

Bien à toi.

[sanaa]

Aimer ne serait-ce qu'une fois,
Mais,j'ai trop vécu,car trop aimé,
Toutes celles qui m'ont proclammé,
De n'aimer que pour la premiére fois.

Bien à toi.

merci

que c'est beau d'aimer puis encore aimer et toujours aimer comme si c'était pour la premiére fois

[solitaire]

Ils aiment étreindre leurs corps l'un dans l'autre.

L'envie soudaine jaillit de partout.

Ils expriment sur leur couche le manque de l'autre.

Et la peur de se perdre se ressent de partout.



On les voit parfois glacés par le deuil de l'abandon.

Ils cherchent encore, le plaisir perfide et le doux amant.

Ils semblent se réclamer des ébats, plus ardents.

Pour retrouver la légèreté de leurs vieux serments.



Le parfum dissipé, ils se respirent puis se donnent.

Ils goûtent aux fruits des douces tortures.

Ils se débattent, ils se révoltent et ils s'abandonnent.

Ils s'étonnent d'avoir pu tant résister à l'amertume.



Par le profond, le mystérieux, le mystique, ils sont épris.

Et se recueillent dans le souvenir des plaisirs exquis.

Dans le présent éphémère, le passé ressuscité, et le futur fortuit.

Ainsi, les amants sur leurs corps, l'amour se reproduit.



Ils jurent de ne plus succomber à la volupté.

Les amants connaissent l'ivresse de la chair,

Mais, L'un dans l'autre, ils oublient la clandestinité.

Et ils obéissent à leur vœu le plus cher !

BONSOIR,CHERE AMIE
LA VIE est un chemin d'epines que seul ,l'amour nous aide a parcourir,beau poeme,solitaire