Celine elle esr belle
A mon coeur harassé
Visagée par son leger air frêle
Lors des secondes figées
La noiceur de la moire
S'est fondue dans l'espoir
D'appercevoir un jour
Le retour de l'amour
Encore une soirée,
Où je vogue dans mon verre
Affrontant océans et mers
Pour ses yeux étoilés
Pendu à ses lèvres
Mon monde ne tourne plus
Voila l'arrivé de la trève
De mon amour déchu
Desespoir effacé
Semblant d'éternité
Lors de la croisée
De nos coeurs térassés
Et on refait surface
On s'envole pour l'espace
Où le big bang de notre amour
Pourra y voir le jour
Y voir le jour...

Celine...
Débuté par Pierrot66, nov. 21 2007 02:17
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 21 novembre 2007 - 02:17
#2
Posté 21 novembre 2007 - 02:27
Un bien joli poême que voilà .Le big bang ne rapproche point,il éloigne les élements à vitesse grand V.Mais l'espace est courbe,un rapprochement est toujours possible.Bien à toi.
#3
Posté 21 novembre 2007 - 02:55
Un bien joli poême que voilà .Le big bang ne rapproche point,il éloigne les élements à vitesse grand V.Mais l'espace est courbe,un rapprochement est toujours possible.Bien à toi.
Un big bang eloigne peut-être, mais l'amour, lui, explose avec la même force que ce dernier ! A méditer... ^^
#4
Posté 21 novembre 2007 - 03:05
Un bien joli poème... Je ne l'aurai pas mieux dit, Cher Marquis !
Pierrot,
Je ne sais si au clair de la lune
Tu dessines et brodes les mots
Destinés à la muse de ton infortune...
Mais de perles d'amour,
Autour du cou, tu en pares le jour...
A te relire encore, Pierrot66
Amitiés de la Catalane.
...
Pierrot,
Je ne sais si au clair de la lune
Tu dessines et brodes les mots
Destinés à la muse de ton infortune...
Mais de perles d'amour,
Autour du cou, tu en pares le jour...
A te relire encore, Pierrot66

Amitiés de la Catalane.
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