L’homme qui pleurait
#1
Posté 22 novembre 2007 - 04:11
L’homme qui pleurait
Je n’ai jamais croisé tes pas baladeurs.
Aujourd’hui, tes yeux ont frôlé ma candeur
Ils en ont sondé toute la profondeur
Est-ce mon regard qui t’a attiré et convoqué
A ouvrir ton cœur souffrant pour invoquer
Mon écoute et apaiser tes sanglots disloqués
Au crépuscule de cette journée brûlante
Tu m’as choisie pour être ta confidente
Pourquoi une telle sincérité fut-elle abondante ?
Perçois-tu en mon cœur cette corde délicate
Faisant écho au bruissement de la larme acrobate
Qui glisse sur la joue du genre humain qui éclate?
.
Ma compassion à la vue de tes yeux bleus attendris
Remplis de bruines, toi l’inconnu, tu me grandis
D’une exhortation ensanglantée vers ta mort tu cries.
Mon silence, pour être à l’écoute et cheminer
Ma tendresse vers ton désarroi, tu t’y es abonné,
Ma main s’est posée sur ton épaule, ta tête s’est inclinée.
Les heures se sont furtivement échappées,
Tes beaux yeux ont capté l’aube, et ta voix drapée
Fut un cadeau du sceau de l’amour, frappé
Tes Yeux dans mes miens se sont émus
Tu me fixais et ton regard m’a promue
Au rang merveilleux de ton Ange de l’Orémus
#2
Posté 22 novembre 2007 - 10:45
#3
Posté 22 novembre 2007 - 12:40
Très beau ce passage.
L'homme qui pleurait
Je n'ai jamais croisé tes pas baladeurs.
Aujourd'hui, tes yeux ont frôlé ma candeur
Ils en ont sondé toute la profondeur
Est-ce mon regard qui t'a attiré et convoqué
A ouvrir ton cœur souffrant pour invoquer
Mon écoute et apaiser tes sanglots disloqués
Au crépuscule de cette journée brûlante
Tu m'as choisie pour être ta confidente
Pourquoi une telle sincérité fut-elle abondante ?
Perçois-tu en mon cœur cette corde délicate
Faisant écho au bruissement de la larme acrobate
Qui glisse sur la joue du genre humain qui éclate?
.
Ma compassion à la vue de tes yeux bleus attendris
Remplis de bruines, toi l'inconnu, tu me grandis
D'une exhortation ensanglantée vers ta mort tu cries.
Mon silence, pour être à l'écoute et cheminer
Ma tendresse vers ton désarroi, tu t'y es abonné,
Ma main s'est posée sur ton épaule, ta tête s'est inclinée.
Les heures se sont furtivement échappées,
Tes beaux yeux ont capté l'aube, et ta voix drapée
Fut un cadeau du sceau de l'amour, frappé
Tes Yeux dans mes miens se sont émus
Tu me fixais et ton regard m'a promue
Au rang merveilleux de ton Ange de l'Orémus
Est-ce mon regard qui t’a attiré et convoqué
A ouvrir ton cœur souffrant pour invoquer
Mon écoute et apaiser tes sanglots disloqués
Je crois que ca s’appelle l’intimité.
Amitiés
#4
Posté 22 novembre 2007 - 01:12
L'homme qui pleurait
Je n'ai jamais croisé tes pas baladeurs.
Aujourd'hui, tes yeux ont frôlé ma candeur
Ils en ont sondé toute la profondeur
Est-ce mon regard qui t'a attiré et convoqué
A ouvrir ton cœur souffrant pour invoquer
Mon écoute et apaiser tes sanglots disloqués
Au crépuscule de cette journée brûlante
Tu m'as choisie pour être ta confidente
Pourquoi une telle sincérité fut-elle abondante ?
Perçois-tu en mon cœur cette corde délicate
Faisant écho au bruissement de la larme acrobate
Qui glisse sur la joue du genre humain qui éclate?
.
Ma compassion à la vue de tes yeux bleus attendris
Remplis de bruines, toi l'inconnu, tu me grandis
D'une exhortation ensanglantée vers ta mort tu cries.
Mon silence, pour être à l'écoute et cheminer
Ma tendresse vers ton désarroi, tu t'y es abonné,
Ma main s'est posée sur ton épaule, ta tête s'est inclinée.
Les heures se sont furtivement échappées,
Tes beaux yeux ont capté l'aube, et ta voix drapée
Fut un cadeau du sceau de l'amour, frappé
Tes Yeux dans mes miens se sont émus
Tu me fixais et ton regard m'a promue
Au rang merveilleux de ton Ange de l'Orémus
Nacrey, tes vers sont tantôt d'une douceur et d'une ferveur de la plus extrême suavité. Dans le premier cas, on ressent une petite pinçée de sensualité; dans le second, un amour du coeur. Quelle charmeuse! Amitiés
Maurice
#5
Posté 23 novembre 2007 - 09:59
#6
Posté 23 novembre 2007 - 04:29
Nacrey, tes vers sont tantôt d'une douceur et d'une ferveur de la plus extrême suavité. Dans le premier cas, on ressent une petite pinçée de sensualité; dans le second, un amour du coeur. Quelle charmeuse! Amitiés
Maurice
Monsieur Maurice,
Je vous remercie pour ces phrases que vous m'avez adressées. J'en suis très flattée, pour une débutante de deux mois.
Nous avons un ami en commun, qui a une place particulière dans mon coeur. Il se nomme FlorMed. Par moi, je vous réitère son invitation et je me joins à lui sur PalmerReveur.
Amitié
FRV
Du beau travail, une recherche, tes mots caressent et bouculent, bravo...
[color="#FF0000"]Merci, Monsieur Lacape
Vos paroles me font un velour.
FRV.[/color]
Du beau travail, une recherche, tes mots caressent et bouculent, bravo...
Monsieur Lacape j'ai beaucoup de problème de me servir des effets spéciaux.
Amitié Xxxx
#7
Posté 23 novembre 2007 - 05:00
Il doit pleurer énormément pour l'avoir écris 2 fois.Mais sur ton épaule il trouvera compasion.Amitiés.
Merci, bien
Amitiés