Sois comme ce bel oiseau
Déploies grandes tes ailes
Et voles haut, assez haut
Jusqu’au fond du ciel
En faisant des prouesses magnifiques
Sous le rythme des chants hétéroclites
Et à jamais ne sois pas comme ce coq
Dont l’écho du chant qui choque
Au loin ne porte
Qu’au seuil de sa porte
Malgré son excès de zèle
A vouloir déployer ses grandes ailes
Qui ne lui permettent que des envols
Limités juste au niveau du sol
Sois comme cette abeille
Qui ne fréquente que les plus belles fleurs
Et dont le résultat de son labeur
Pour tout son entourage est une merveille
Et à jamais ne sois pas comme ce moustique
Qui s’abreuve de sang chaque soir
En injectant son venin quand il te pique
Juste quand tu t’endors, confiant, dans son territoire
Recommandation à mon gamin
Débuté par grandvent, nov. 22 2007 06:36
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 22 novembre 2007 - 06:36
#2
Posté 22 novembre 2007 - 06:42
Il faut quelque fois choquer...Pour dénicher la vérité.Bien à toi.
#3
Posté 23 novembre 2007 - 01:07
Essaye les coqs bitumeux
Puisqu'ils sont aveugles sous le trottoir
Ils interceptent les photons
Et perçent l'anti-matière : ils creusent les mines de sel
Force oisive, ce foetus limbique
Est un parasite
En plus d'une hérédité révoltante
Il supporte tant bien que mal les X et les Y
Foutre Dieu, qui reste dans la chambre mal éclairée
A regarder le ventre de l'ancienne gestante
des marées redoutées
Elle plisse sa croupe et hurle pour bien faire
Il faudrait encore son cri pour parfaire
l'acte calomnieux des gens isolés : elle crie et moi sa bouche je la veux arrachée
Comprenne qui ne voudra pas comprendre
Puisqu'ils sont aveugles sous le trottoir
Ils interceptent les photons
Et perçent l'anti-matière : ils creusent les mines de sel
Force oisive, ce foetus limbique
Est un parasite
En plus d'une hérédité révoltante
Il supporte tant bien que mal les X et les Y
Foutre Dieu, qui reste dans la chambre mal éclairée
A regarder le ventre de l'ancienne gestante
des marées redoutées
Elle plisse sa croupe et hurle pour bien faire
Il faudrait encore son cri pour parfaire
l'acte calomnieux des gens isolés : elle crie et moi sa bouche je la veux arrachée
Comprenne qui ne voudra pas comprendre
#4
Posté 24 novembre 2007 - 02:49
C'était plus fort que moi, un homme avertit en vaut deux.(je parle du destinataire de ce texte).Bien à toi.Il faut quelque fois choquer...Pour dénicher la vérité.Bien à toi.