il faut rester avec mal c’est une maison au creux de la vallée précisément comme une contracture sous le pied et maison
et village
menacés par une retenue d’eau
il faut rester avec mal
mais que je veuille évacuer toutes les chaussures sans voûte plantaire
dans tes gestes mon amour
dans les gestes de notre petit gars et
marcher ne met plus en branle les routes les pauvres routes qui jouent au zénith quand la corne n’est pas entêtée;
n’entendre de pieds trop tendres que leur accord pour que sous leurs toits tendus patiente un mort

avec mal
Débuté par b, mars 02 2007 06:52
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 02 mars 2007 - 06:52
#2
Posté 16 mars 2007 - 07:41
soyez-moi ballerines Pour un moment Vos omoplates se déboîtent, 0 mes amours !
#3
Posté 16 mars 2007 - 08:06
– Oh !
#4
Posté 16 mars 2007 - 08:12
Sur le coup, je lui ai pas dit mon nom, que c’était moi que j’étais ; juste "n’est-ce pas, de la part de Parfione Rogojine, il lui dit, Zaliojev, en souvenir de votre rencontre d’hier ; si vous daignez accepter".
#5
Posté 17 mars 2007 - 07:58
Châtiment !