1 réponse à ce sujet

[saphira]

pour cette vie de ghetto la ou ont te regarde haut ou leur maladies ne fait que detiriorer en les regardant
pleurer et les ecoutant crever les fusils qui ne cesse de tirer les gens qui ne cesse detre eliminner mais ils ne
prennent meme pas la peine de les enterer que les emplier mais que devien notre societer ou est cette pureter
na t elle jamais exister que la heine et la guerre une guerre qui nous remetera place premiere qui se
nomme terre ou est cette mere qui nous a mis sur cette terre qui nous prommetais le bonheure et la joie pour
nous permettre de rever un peu avant de realiser la realite et que dans cette vie ont devais payer notre
liberter et meme encore ca finirais par bruler aussi vite que cette jolie feuille de papier de couleur
differencer qui allait finir par tous nous tuer dans se monde de sans coeur qui ont detruit le bonheur
les valeur .qui ont ete esclaves liberer mais renfermer par leur propre sang qui ont continuer de leurs leguer
la pauvreter contniuer de rever mes biens aimer endormer vous comme de doux bebe le cauchemar est termner
vous avez fini de tuer et detre blesser que les anges vienne vous liberer

[Padej]

Pour cette vie de ghetto, là, où on te regarde haut, où leur maladies ne fait que détériorer en les regardant pleurer et les ecoutant crever.
Les fusils qui ne cessent de tirer, les gens qui ne cessent d'être éliminés... Mais ils ne prennent même pas la peine de les enterer, que les empiler...
Mais que devient notre société ? Où est cette pureté ? N'a-t-elle jamais existée ?
Que la haine et la guerre, une guerre qui nous remettra place première qui se
nomme terre.
Où est cette mère qui nous a mis sur cette terre, qui nous promettais le bonheur et la joie pour nous permettre de rêver un peu, avant de réaliser la réalité, et que dans cette vie ont devait payer notre liberté... Et même encore ça finirait par brûler aussi vite que cette jolie feuille de papier de couleur...
Difference qui allait finir par tous nous tuer dans ce monde de sans coeur qui ont détruit le bonheur, les valeurs, qui ont été esclaves libérés mais renfermeés par leur propre sang... Qui ont continués de leurs lèguer la pauvreté...
Continuez de rêver, mes biens aimés. Endormez vous comme de doux bébé, le cauchemar est termné... Vous avez fini de tuer et d'être blessés...
Que les anges viennent vous liberer

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Désolée, ce n'est pas dans mes habitudes, mais là..... une sensation de "fouillis" m'a envahie !
J'ai repris ton texte en y ajoutant points et virgules ceci afin de mieux le comprendre...
La pensée est là mais noyée dans le flot des mots et des phrases trop longues. Dommage.
Je ne donne pas de conseil mais tu devrais essayer de plus découper et écourter tes phrases. Allez, au boulot !

Bien à toi.

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