mon frère rigole derrière les souffles bâtards... par moi farid khenat.

L'heur tremblotant comme auparavant
Sous les risées des grands vents bâtards
Resterait bien rougeâtre devant les vents
Des flammes perfides de l'hâlée du soir.

Cernes les pourtours pendus à l'attrait
Du lever de soleil, d'émotions saines
Avant la chute du temps qu'il redorait
Sur le chemin menant au castel de la reine…!

Estampes l'heur que procurait l'image
Pendue à l'esse des jovialités durables
De regards laineux, sur tes nouvelles pages,
Mais n'obtempères jamais à ces exécrables… !

Ta fuite, vers l'avant ferait de grands pas ;
Tes repos sur leur lit, aux côtés des nuits…
Se reposeraient avec tes souvenirs, et béat
Tu vivrais entre tes désirs et tes vrais amis.

L'heur tremblotant comme auparavant
Sous les risées des grands vents bâtards
Resterait bien rougeâtre devant les vents
Des flammes perfides de l'hâlée du soir.

L'accointance de nos acérées flammes
Resterait rougeâtre devant leurs allures…
Qu'ils émoulent leurs forces comme des lames !
Qu'ils se dissimulent derrière leurs voilures !


farid khenat.