Le champs que nous cultivons
étale sa beauté en été
le temps nous réponds
d'intempéries alternées
le champs tiens bon
il est meme renforcé
et un jour le soleil illumine le ciel
faisant bruler de milles feux nos terres
iradiant nos espoirs de fleuves tranquilles
nos yeux s'ecarquillent
devant les restes de nos terres éphémeres
l'eau s'évapore abandonnant son sel
mon coeur brulé
est désormais stérile
depuis qu'il n'est plus tien
Il ne me reste plus rien
de ce sentiment futil
qui nous avait fait réver
amour éphémére de nature
Débuté par lost thoughts, nov. 26 2007 02:06
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