Pour nos iniquités,ici-bas,nous soumettons aux Dieux,par nos prières,leur indulgence plénière,
Pour notre plaisir afin de ne point abattée sur la routine,les fantasmes demeurent notre critère,
Les fantaisies de la Marquise ne se parent d'aucune limite,pourvu qu'elle en trouve concupiscence,
Ce que femme veut,les Cieux le veulent,alors une jeune Marquise pensez donc quelle chance!
Les soirées intimes prés de la cheminée demeurent,de notre sexualité le pinacle de l'édifice,
Ce fût un soir,l'âtre crépitait donnant ses mille flamèches éclairant nos corps nus,sans nul artifice,
Experte en prolégomènes de l'Amour,la Marquise se mît en tête de faire mousser mon créateur,
Par de savants va et vient buccaux,elle obtint du pivot du bonheur sa meilleure cuvée de liqueur,
Je ne pouvais que rendre à ma Belle une égale politesse,j'étais le préposé de sa légitime attente,
Habitué à mettre le nez dans les affaires d'autrui,je recueillis les délices d'usufruit de ma rente,
Etrange spectacle que ces ombres sur les murs du petit salon,la noblesse nue en extrapolation,
Nous appliquâmes sur le vaste tapis notre position favorite,celle des corps allongés en inversion,
Je savourais le pédoncule cracheur,assurant par un attribut artificiel le comblement de la vacuité,
Des mouvements combinatoires,phénomène d'induction,amenant une extase donnée en satiété,
La Marquise,trés vorace,s'assurant de transformer ma colonne vertébrale en véritable sarbacane,
Elle se régalait de cette longue tige,peut-être prenait-elle mon attribut pour une sucrerie de canne,
Notre rémoulade arrivant à maturité,nous en dégustâmes mutuellement les saveurs de la recette,
Un bref instant rémittent et les belligérants reprirent leurs investigations pour la joie d'une doublette,
La suite ne fût qu'un nombre incalculable de positions plus extravagantes les unes que les autres,
Amenant du fait de nos élucubrations,la joie de contempler la plénitude des jouissances de l'autre,
Elle n'avait jamais été aussi rayonnante qu'en ce soir mon épouse,remarquable dans ses exploits,
De son regard fusaient moult lubricités,sa fleur avait soif,la Belle était prête de nouveau à l'emploi.
je déguste comme un met savoureux tellement c'est exquis,j'en redemanderais et remercie la voracité de ta marquise qui t'incite à nous gratifier de cette table rabelaisienne.amitiés à toi qui sait tout