Quand l’art devient mercatique
Et qu’il se vend au plus offrant
Quand une oeuvre certes unique
Coûte et vaut autant d’argent
C’est la liberté qui s’achète
C’est bientôt la mort du poète
Dans l’océan tourbillonnant
Des mots j’ai prélevé ma dîme
Ces mots qui sont au tout-venant
Et que je vends pour faire mes rimes
J’ai vendu mon âme et ma tête
Perdu le droit d’être poète
Que ne donnerais-je pourtant
Pour retrouver l’âme d’enfant
Qui me permettait de croire
Que j’étais libre dans cette histoire
La liberté seule défaite
Sonne encore le glas du poète

Art-gent
Débuté par Yves Le Guern, déc. 01 2007 04:59
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 01 décembre 2007 - 04:59
#2
Posté 01 décembre 2007 - 05:05
Instaures en toi un monde de rêves,
Où tu puiseras tes manques à satiété,
L'enfant est là simplement désapointé,
Par un monde ne laissant aucune trève.
Amitiés.Tiens nous avons le même prénom.
Où tu puiseras tes manques à satiété,
L'enfant est là simplement désapointé,
Par un monde ne laissant aucune trève.
Amitiés.Tiens nous avons le même prénom.
#3
Posté 01 décembre 2007 - 05:30
Instaures en toi un monde de rêves,
Où tu puiseras tes manques à satiété,
L'enfant est là simplement désapointé,
Par un monde ne laissant aucune trève.
Amitiés.Tiens nous avons le même prénom.
tu es celui qui sait, c'est dire ! Je ne savais pas que nous avions le même prénom. Un gage de qualité ? lol Merci pour tes quelques vers je vais de ce pas instaurer un monde de rêves.
amitiés