Qu'il est doux de profiter de la relative fraîcheur offerte par la nuit après la canicule de l'hier !
Je reconsidère en la pensée mes vieux cours de physique quantique ; l'équation de Schrödinger ; le principe d'incertitude d'Heisenberg qui fait comprendre que jamais l'on ne saura réellement tout tant qu'on ne pourra pas dire en l'instant quelle est la position d'une particule ainsi que la vitesse qui l'anime.
David Bohm cette si merveilleuse idée de l' « onde pilote » ; ψ, ce champ si irresistiblement attirant...
Cet Epsilon, que j'ai abordé dans de précédents écrits ce "ε" permettant à ces fonctions de x, y ou ce que l'on peut imaginer, de s'adéquationner en la perpetua Æternitas.
Que dire du « Codex Perfectus », du génome si universellement réduit à 4 symboles, l'A, le T, le G ; enfin, le C. Dire que l'alphabet occidental contient 26 symboles, que de perspectives alors pour les poètes inspirés.
Sympathie, Caleb