La colonne aura ta peau.
Je la sens, tapie au fond
Juste prête à émerger.
Tout près
De mes organes
Elle bouge
Je la sens bouger.
Et d’un coup sec
Elle se glisse le long de mon foie,
L’épieu l’évite
Le fou aussi.
Mais elle semble rassasiée
De votre vapeur.
Et d’un coup sec,
Sans savoir pourquoi
Pourquoi elle s’inquiète
Humaine ou pas
La peur est la même.
Sans quoi
Je me maudis
Marche tant que tu peux
Tu as encore tes jambes
Vois tant que tu peux
Tu as encore tes yeux
Bois tant que tu peux
Et va en crever sans moi.

La colonne aura ta peau
Débuté par Buse, déc. 07 2007 04:46
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