Souviens toi de ta jeunesse, homme d’automne
Souviens-toi de ta jeunesse homme d’automne
Ce sang coulant de tes impatiences
De ta tête haute, arrogante, à la vie
Pensant que cette énergie vital serait toujours
Souviens-toi de ta jeunesse homme d’automne
De ton monde relier qu’à ton petit toi-même
De l’insouciance de cette vie entre tes mains
Jaugeant tes parents, les pensants d’un autre monde
Souviens-toi de ta jeunesse homme d’automne
De ce passé t’es resté une grande nostalgie
De l’insensible envers ceux que tu as eu côtoyés
Pensant à regret à tant de blessures délibérées.
Souviens-toi de ta jeunesse homme d’automne
Aujourd’hui, tu sais qu’hier tu ne savais pas
Homme que je suis dans l’automne de ma vie
Pardon à tout ceux que ma conduite
A pu blesser, brimer et heurter
Sachez n’en vous déplaise que l’inconscient
Se sentant maître de cette folle jeunesse,
Vous y faisiez sûrement parti
Et qui sait ! Même aux premières loges,
Donc n’en faites point de cas.

Souviens toi de ta jeunesse, homme d’automne
Débuté par Nacrey, déc. 15 2007 05:05
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