L'essence de cet ambiguë aux allures d'illusions
Je pense feint les cœurs à la soumission
Dans les yeux infidèles, s’apparente à un breuvage
Qui, consommé, nous offres des ailes de rages
C'est au détour de sa folie qu'à lui seul
Il fait de nos pensées l'âme d'un manifeste
Une révolution des mots, pour des classiques en deuils
Sans doute, l'art du non-sens des esthètes
Survolté par le besoin des grandes connaissances
Chacun par soi, nous désirions l'apperçu de l’éternité
Courant toujours plus loin vers la décadence
Essayant et demeurant dans un cercle éclairé
Aux lourds volumes dénigrés, il volait l’amour
Écrivant de ses larmes quelques prophéties tragiques
Aux amers souvenirs d’un prince poète antique
Tel Rimbaud, le regard brillant du toujours