Tes bruissements disculpent tes acharnements peut-être,
Mais, j'en ai l'habitude de lire et relire ce qui éventre mon être
Devant les petits fétides comme toi ou comme vous
Quand, je suture ce que rouvraient les griffes des loups…
Ta résurgence ne déferlait que l'absence de ta personne
Qui suppute son arrogance rétive au nom de l'aumône,
Et de plus en plus elle te rabaisse entre les belles voiries
Où poussaient les sauvages fleurs qu'arrosaient les pluies…
La pluie ne mouille que les errants que perdait le temps
Entre l'écart qui nouait le jour au cou du soir indépendant.
Ses bruissements ne perçaient ni mes sommes ni mes repos,
Diurnes ou nocturnes, où se couvrait d'ardeur…mon tourteau,
Et le soleil qui l'asséchait de rais rutilants chaque matin,
Revenait caresser nos quatre saisons, altier et mondain,
Derrière l'aubaine que parrainait l'aube d'attirances vives
Jusqu'à l'heure du déclin, sur les tilles, les crêtes et les rives.
par moi farid khenat.
bibi est un menteur.