Les signaux bavards des pratiques emphatiques
Finissaient ternes dans l'ombre des tumultes,
Assourdissant les bouleversements lyriques
Qui tremblotaient le soir devant les insultes…
Les bougeoirs brûlaient sans cire au midi du midi
Et remplissaient de lueurs la compacité nébuleuse
Se rechargeant en l'escarcelle noire de la nuit
Sensée à noircir vite devant les lueurs aqueuses.
J'irais tout seul ceindre l'infini plein d'attrait
De regards mouillés sans l'aval des tourteaux,
Je me taillerais un repos de méchants aux prés
Des idiots qui ne parlaient jamais de leurs maux.
J'attendrais les renégats sur la courbe du hasard,
Je les laisserais avec leurs manières longtemps
Pour repousser la venue du nouveau troupeau noir
Du verger où se plaisaient les fleurs du printemps ;
Et sur l'oreiller des vœux que caressait mon humble…
Quand s'assécherait l'hiver de nos vieilles peines,
J'irais câliner une mort temporaire d'un ton fiable
Pour ne pas te revoir encore sous la nimbe de reines.
hamid khenat.
never akli, never tac, tac.