Silenis Alcibiadis
L'amour épice une utopie d'esclave
Couvre de sourdines les poulies d'un songe :
Au plus profond de l'homme adamique
La femme reste un automatisme.
Posté 22 décembre 2007 - 10:27
Silenis Alcibiadis
L'amour épice une utopie d'esclave
Couvre de sourdines les poulies d'un songe :
Au plus profond de l'homme adamique
La femme reste un automatisme.
Posté 24 décembre 2007 - 12:35
Posté 27 décembre 2007 - 11:03
Pas faux de dire qu'il y avait menace d'indigestion.
Je me suis contenté d'un passage
puis d'un repassage (bon signe pour la netteté du pli) sur le blog mauve,
où perche un autre Silène d'Alcibiade,
hermétique lui aussi,
d'un hermétisme comme on aime à essayer de les démonter.
Ca demande du temps, de l'attention.
Plus accessible - enfin, à première vue, ehh ?
et pour moi réussie, cette Ekklesia dont on se rapproche un peu plus près
pour lire les coups de pinceau entre les lignes.
Plus sobre qu'il n'y paraît,
le Silène.
'lut.
Posté 03 janvier 2008 - 02:28
Posté 05 janvier 2008 - 05:36
Merci.
Cette fin d'année avait un peu la bougeotte.
Message surprenant ?
En fait je ne suis pas très doué pour le "dûment" commentaire,
hors mis des écritures apparentées, ou familières, où je me permets de.
Ici, je crois que c'est plus "de la réaction en chaîne".
Ce texte m'a permis de visiter les références
du Silène d'Alcibiade.
Intéressant, non ?
Cette idée des petites statuettes des Dieux enfermées là .
Plus encore que leur valeurs de représentation, d'idoles, ou leur "déité" :
leur trajet; l'idée de les avoir ensevelies là , l'idée conçue qu'on puisse un jour
les en extraire.
Cela tient de l'ammonite.
Merci pour cette marée.