
faim del'histoire
#1
Posté 24 décembre 2007 - 09:29
Mon cœur se ronge
Mes doigts qui longent
Ta peau si fine, ta peau trop fine.
Peau de papier, du parchemin !
Ton cœur brisé, tu n'as plus faim.
Mon cœur se blesse
Mes doigts caressent
Ton corps si maigre, ton corps trop maigre.
Ame torturée, tu dois lutter,
Prendre congé, ou bien manger.
Mon cœur de mère,
Mon âme espère,
Que s'ouvrent tes yeux, que voient tes yeux.
Cherche la flamme, regarde en toi
Tu es une femme, tu y as droit.
Pensées légères,
Je me libère
De mes angoisses, de tes angoisses.
Les yeux béants, tu as su voir,
Ton cœur battant, tu as l'espoir.
Avec ferveur
Oh quel bonheur,
La haine de soi, la haine de toi
Tu l'as tuée, tout en lenteur
Cette fausse idée, qui t'faisait peur.
Maintenant tu sais,
Tu te connais
Tu as grandis, tu as compris
Le lâcher-prise, pour que tu t'aimes
Tu t'es permise, d'être toi-même.
[/size]Monique Zomer
#2
Invité_souris_*
Posté 24 décembre 2007 - 09:37
Sujet poignant, traité de façon élégante,
Heureusement pour Noël,
Tu as fait, la fin belle.
Merci, pour cet espoir, joyeuses fêtes.
Amicalement
Souris
#3
Posté 24 décembre 2007 - 09:45
L’espoir
L’espoir est doux
L’espoir est fou
Il est partout
Accrochez-vous
Car il peut tout.
Monique
Il est aussi venu frapper à ma porte, il a apporté sa force,
Il va dans chaque foyer, il faut juste le laisser entrer !
merci souris pour ton message
#4
Posté 24 décembre 2007 - 09:48
H. W. Beecher - Pensées sur la vie - 1858"Le coeur d'une mère est l'école de l'enfant"
Bel exemple et belle traduction.

#5
Posté 24 décembre 2007 - 10:30
#6
Posté 26 décembre 2007 - 12:26
....
les mamants ont toujours raison
....au plaisir de te lire
#7
Posté 26 décembre 2007 - 02:25
Voilà un texte facile à lire sans fausses extravagances...Faim de l'histoire.
Mon cœur se ronge
Mes doigts qui longent
Ta peau si fine, ta peau trop fine.
Peau de papier, du parchemin !
Ton cœur brisé, tu n'as plus faim.
Mon cœur se blesse
Mes doigts caressent
Ton corps si maigre, ton corps trop maigre.
Ame torturée, tu dois lutter,
Prendre congé, ou bien manger.
Mon cœur de mère,
Mon âme espère,
Que s'ouvrent tes yeux, que voient tes yeux.
Cherche la flamme, regarde en toi
Tu es une femme, tu y as droit.
Pensées légères,
Je me libère
De mes angoisses, de tes angoisses.
Les yeux béants, tu as su voir,
Ton cœur battant, tu as l'espoir.
Avec ferveur
Oh quel bonheur,
La haine de soi, la haine de toi
Tu l'as tuée, tout en lenteur
Cette fausse idée, qui t'faisait peur.
Maintenant tu sais,
Tu te connais
Tu as grandis, tu as compris
Le lâcher-prise, pour que tu t'aimes
Tu t'es permise, d'être toi-même.
[/size]Monique Zomer
Bravo de t'être libéré et de le partager.J'espère que ce n'est que le début d'une belle histoire...
Amicalement,Lhomme à fables

#8
Posté 26 décembre 2007 - 12:20
Je comparerais cette étape de la vie de ma fille comme une chrysalide indispensable à son évolution. Il y a deux ans le papillon a commencé à sortir de son écrin, il est magnifique et dévore la vie.
Mais un enfant malade à la maison , tout le monde souffre , sa soeur en a aussi ramassé, j'en ai aussi fait un poème . Ce qui est sûr , c'est que la difficulté nous aide à grandir: ce qui ne nous tue pas , nous rend plus fort.
donc : espoir pour tous !