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#2
Posté 04 juillet 2016 - 10:45
L'Abus de Majuscule donne Mal à la Tête.
#3
Posté 04 juillet 2016 - 11:45
à qui s'adresse jg ?
#5
Posté 04 juillet 2016 - 12:30
ah , c'est un "tu" qui s'adresse à lui même.
moi aussi j'ai fait ça dans des poèmes.
#6
Posté 04 juillet 2016 - 01:32
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#7
Posté 04 juillet 2016 - 02:09
C'est un jeu. Le jeu a failli être le propre de l'Homme, mais en fait c'est la maîtrise du feu. L'Art est la maîtrise du feu sacré.
j'aime bien!
#9
Posté 04 juillet 2016 - 04:06
On notera tout de même que tout s'arrête au surréalisme, ce qui ne manque pas d'interroger.
L'autre point plus problématique est de proposer une histoire franco-française alors que l'émergence du "sturm und drang" ou la popésie descriptive anglaise du XVIIIe siècle, l'antiroman ou le réalisme du début du XIXe siècle (antérieur et bien plus "réaliste" que le roman français du XIXe siècle), et j'en passe ! permettent seuls d'avoir une vision d'ensemble aujourd'hui absolument nécessaire.
Ce qui te permettrait de poursuivre d'ailleurs puisque l'objectivisme américain a été le courant s'opposant le plus directement au surréalisme, inspirant plus d'un poète français de cette difficile deuxième moitié du XXe siècle.
Un excellent ouvrage, assez ancien mais toujours frais, "Un art en crise, poétique de la traduction poétique" d'Efim Etkind.
En lisant cet auteur d'une culture incommensurable, on se rend compte de la pauvreté de notre vision très "nationale" de la littérature.
Ensuite, on pourra s'attaquer à la linéarité même, pur artefact, de ce genre de tableau parfait pour les concours, peut-être, mais pas pour comprendre la complexité des filiations littéraires et culturelles.
#10
Posté 05 juillet 2016 - 07:03
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#11
Posté 05 juillet 2016 - 07:36
J'y ai pensé mais si : le XXe siècle aborde largement l'après-guerre.
#12
Posté 05 juillet 2016 - 08:06
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#13
Posté 05 juillet 2016 - 08:54
#14
Posté 05 juillet 2016 - 10:55
OK Absurde, Nouveau-Réal/Nouveau-Roman, et après ?
pseudo fin des mouvements
fin de rien, ça continue !
Néo-symbolisme, moi je dis !
Il est de toutes façons difficile de penser ce qui est le plus près de nous. Là encore, c'est l'expérience du pauvre gars qui se trouve pris dans une bataille et qui explique sur dix pages qu'il n'a rien vu. Gabriel Chevallier, plus tragiquement, fait le même constat.